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Längere franz. Geschichte: Korrektur
Status: (Frage) beantwortet Status 
Datum: 14:14 Di 12.02.2008
Autor: cerise_noire

Aufgabe
-auf Anfrage-

Ich habe eine ziemlich lange französische Geschichte geschrieben und bräuchte nun jemanden, der da mal drübergeht und den ein oder anderen Fehler ausfindig macht, weil ich nicht sehr gut bin in französisch.
Da sie ziemlich lang ist (20 Seiten, Schriftgröße 12) wollte ich sie hier nicht einfügen, aber wenn sich jemand bereit erklären würde das zu korrigieren, würde ich es dann per Mail schicken.
Danke schonmal...
LG
Cerise



Ich habe diese Frage in keinem Forum auf anderen Internetseiten gestellt.



        
Bezug
Längere franz. Geschichte: Mitteilung
Status: (Mitteilung) Reaktion unnötig Status 
Datum: 08:49 Mi 13.02.2008
Autor: Profdefrance

[willkommenvh]

Hallo cerise noire,

Deine Anfrage ist ziemlich ungewöhnlich. 20 Seiten sind schon viel. Kannst du eine Seite posten oder über die Nachrichten-Zentrale mir zukommen lassen. Dann kann ich sehen wieviel Aufwand dies bedeutet und dir eine Bewertung abgeben.

Viele Grüße

Profdefrance


Bezug
                
Bezug
Längere franz. Geschichte: Mitteilung
Status: (Mitteilung) Reaktion unnötig Status 
Datum: 14:24 Mi 13.02.2008
Autor: cerise_noire

Ok, ich glaube das ist schon ein relativ großer Aufwand, sorry ;)
Aber hier ist mal der Anfang:

Je suis enchanté par les temps anciens pour toujours

Dans un angle de mes souvenirs, les dames blanches faisaient de la marche à la société des malheureux, entre la demande misérable après le désiré, entre des cents de doigts froids et squelettiques.
L'inspiration immortelle de mon désir me dirigeait vers les lieux déserts infinis des feuilles mortes, vers les hivers désolants et les châteaux légendaires.C‘était dans une marche infinie sombre dans laquelle je commençais mon chemin, des cents de vieilles voûtes en croisant, et dans son obscurité endormant en chantant je tombais amoureux de la beauté des regards indolent.
Jusqu'à ce jour, mes dames n'avaient pas trouvé le chemin à la forêt, car toujours, ils demeuraient somnolent entre les murs des forteresses innombrables et des sombres villas, avaient tourmenté des bêtes burlesques dans les oubliettes de mes rêves.Mais des bribes de ses rêves de son existence fanée resteront toujours, et ses scènes s'enfonceront à l'avenir dans le brouillard. Là où le soleil se perd pour toujours, et les ruines de la sympathie resteront sous la rivière de larmes de la pluie et de la tempête.
La lampe d'huile qui était allumée pour éclairer mon obscurité ne diffuse plus aucune lumière vacillant, mais était remplacée par la lumière naturelle.
Je ne m'en souviens plus. Mais je trouvais la porte principale du château, traversais  les ponts-levis et allais au libre par les grilles derrière lesquelles mes clairs sombres rêves étaient gardés.Maintenant, je me trouve dans le bosquet. J'ai vu des lutins qui me souriaient avec la discrétion et j'ai nagé dans des étangs avec l'eau de couleur d'ambre jaune.
Mais de l'autre côté de la forêt guettent des dangers, tristesses et plaisirs à l'avenir . Je savais que j'étais libre, quand je me retournais et devant moi-même des millions de couleurs différentes et bruits apparaissaient.Les histoires anciennes tournaient en arrière dans ma mémoire et je me souvenais des rires des vieilles sorcières qui traversaient les ciels pourprés de mon intimité sur son balai. Maintenant m'attendent des villes que je n'ai jamais vu auparavant , je découvrirai les légendes des princes mystérieux et le son de la musique immortelle.
Si je sens l'amour,finalement, je le trouverai dans les bras d'un vampire rêvant, étourdit de la musique de son salon doré, sans chaque horreur. Disparu dans sa chaleur, son froid, dans sa séduction.
Et mon nom sera Favole.

Ich hoffe man versteht überhaupt irgendetwas. Aber danke schonmal!!


Bezug
        
Bezug
Längere franz. Geschichte: Antwort
Status: (Antwort) fertig Status 
Datum: 17:02 Mi 13.02.2008
Autor: Profdefrance

Hallo cerise noire,
Im ersten Satz kann ich erkennen, dass du männlich bist. Wenn nicht teile es mit in dem du enchanté, enchantée schreibst.
Ich korrigiere die Fehler, und schlage stilistische Korrekturen vor. Ich schreibe nv an den Stellen die nicht verständlich, also Stelle die du entweder selbst korrigiert oder für die du einen deutschen Text zurück schickst. Ich versuche weitgehend deinen Text nicht zu verändern.

Je suis pour toujours enchanté par les temps anciens.

Dans un angle(un coin oder la nuit) de mes souvenirs, les dames blanches faisaient de la marche (à la société des malheureuxNVoder en société des...), entre la demande misérable après le désiré, entre des centaines de doigts froids et squelettiques.
L'inspiration immortelle de mon désir me dirigeait vers les lieux déserts infinis des feuilles mortes, vers les hivers désolants et les châteaux légendaires. C‘était dans une marche infinie sombre dans laquelle je commençais mon chemin, en croisant des centaines de vieilles voûtes, et dans son obscurité endormant en chantant je tombais amoureux de la beauté des regards indolents.
Jusqu'à ce jour, mes dames n'avaient pas trouvé le chemin de oder dans ? la forêt, car toujours, ils demeuraient somnolents entre les murs des forteresses innombrables et des sombres villas, et avaient tourmenté des bêtes burlesques dans les oubliettes de mes rêves. Mais des bribes(est-ce canadien ?) de ses(warum ses rêves de sonwarum son existence fanée resteront toujours, et sesses, ses son wem gehört das alles ?) scènes s'enfonceront à l'avenir dans le brouillard. Là où le soleil se perd pour toujours, et muss weg sonst unverst.) les ruines de la sympathie resteront dans la rivière de larmes de la pluie et de la tempête.
La lampe d'huile qui était allumée pour éclairer mon obscurité ne diffuse plus aucune lumière vacillante, mais était remplacée par la lumière naturelle.
Je ne m'en souviens plus. Mais je trouvais la porte principale du château, traversais  le pont-levis et sortais à l´air libre par les grilles derrière lesquelles mes clairs sombresclairs sombres geht das zusammen ? ?oder mes clairs et sombres rêves?  rêves étaient gardés. Maintenant, je me trouve dans le bosquet. J'ai vu des lutins qui me souriaient avec discrétion et j'ai nagé dans des étangs remplis d´ eau de couleur d'ambre jaune(Ambre ist gelb. Hier eventuell ein Pléonasme= weißer Schimmel).
Mais de l'autre côté de la forêt guettent des dangers, tristesses et plaisirs à l'avenir . Je savais que j'étais libre quand je me retournais, et devant moi des millions de couleurs différentes et bruits apparaissaient. Les histoires anciennes revenaient dans ma mémoire et je me souvenais du rire des vieilles sorcières qui traversait sur leur balai les ciels pourprés de mon intimité . Maintenant m'attendent des villes que je n'ai jamais vues (CDO vor dem Verb) auparavant , et je découvrirai les légendes des princes mystérieux et le son de la musique immortelle.
Si je sens l'amour, finalement, je le trouverai dans les bras d'un vampire rêvant, étourdit de la musique de son salon doré, sans chaque chaque verstehe ich nicht vielleicht aucune ? horreur. Disparu dans sa chaleur, dans son froid, dans sa séduction.
Et mon nom sera Favole.

Du schreibst in Regionen in die, ich als Techniker nicht komme, aber stilistisch bist du gut.
Schicke die nächste Seite. Wenn du es veröffentlichen willst dans auf die Nachrichten-Zentrale  Profdefrance (anklicken)

Viele Grüße
Profdefrance


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Längere franz. Geschichte: ganze Geschichte
Status: (Frage) beantwortet Status 
Datum: 09:17 Fr 15.02.2008
Autor: cerise_noire

Also dann poste ich doch mal die ganze Geschichte hier rein. Den Anfang von oben hab ich natürlich weggelassen.

Prelude
Elle retournait au plus sombre lieu de la forteresse et regardait essoufflé l'horizon.
Quand elle prenait ces chemins la dernière fois, elle apprenait qu'il y avait les linceul blancs et imprégnés par les larmes de l'autre côté des forêts fatales. Et dans chaque paradis, dans chaque vieil hall de colonnes avec les anges calmes, les souvenirs sont éveillés qui n'avaient jamais été oubliés.A l'avenir les larmes noires glissent en accord sur les joues blanches comme la neige et sur les mines indolentes les sourires qui se cachent dans la lueur du crépuscule traversent furtivement.
Il connaissait les visages de toutes les dames qu'il forçait à se faufiler sous les ciels orageux. Entre les princes funestes c‘était lui qui se cachait entre les masques des bêtes terribles et embrassait les joues des beaux gracieux. Quand il câlinait ses poitrines, les longues rangées de rubis qui coulaient dans ses veines en sortaient  pendant que les demoiselles qui étaient à l'article de la mort gémissaient et courant de larmes déchaînaient.
Hesekiel, le chevalier enveloppé dans le brouillard. Les fantômes dormant dans ses draps des feuilles mortes te maudissent. L'éclat vert bleu de tes yeux aspire à annoncer la poésie des dames sans calme . Infiniment beaucoup de roses fanées pleurent à cause d'eux.
Comme le lierre rampant, les silhouettes en forme de vagues viennent dans la solitude de la chambre à coucher vide et t'accompagnent par les toiles de ta mémoire.Sur le point culminant de tes souvenirs, tu aspireras à caresser  les cheveux noirs bleus de l'une des dames de nouveau .
Dans les prises de ton irréalité, comme un fantôme caché dans des clochers abandonnés, maintenant le sang des autres temps goutte  des roses de ses lèvres.


La disparue des orphelines
Cette nuit, il trouvait le premier éclat de la pleine lune dans le souvenir de ce visage pâle. Un phénomène aussi sait que la neige…
Hesekiel éveillait dans son esprit le souvenir de Lavernne, la demoiselle avec les cheveux dorés qu'il avait vu descendent aux sombres marais entre les forêts  des siècles d'abord.
Pendant qu'il liait l'un avec l'autre des étoiles dans l'aube, il se souvenait de son éclat pâle. La légende signifie que par les vieilles croisades beaucoup de demoiselles devenaient les orphelines besogneuses.Lavernne, qui s'imaginait en tremblant la mort de son père, s'égarait avec les crampes tressaillant dans des labyrinthes avec les chemins infinis.
Après un long soupir le vieux vampire dessinait la propreté de cette expression du visage remplie par les larmes, trouble aux bords d'un étang dans sa mémoire. Il calme leurs lamentations et dans une embrassade magnifique il embrassait ses veines qui étaient affaiblies par l'affliction. Ainsi il faisait nager son corps de manière tendue sur le silence de l'eau.
Maintenant, il s'imaginait, à la surface frisée d'un lac, comme elle germe dans l'obscurité sinistre.
Autrefois, ils trouvaient son cadavre boursouflé au bord d'une rivière. On n'a jamais découvert qui s'était passé de ce corps de cire, non animé. On dit que leurs cheveux dorés deviennent blancs et que sur ses lèvres se montrait sombres violettes un sourire sucré.
„Lavernne…“ Les lèvres du non mort se souviennent encore de son nom. Dans la solitude de sa chambre à coucher, il entend la musique d'un vieux piano qui appelle la danse de ses cheveux blancs dans sa mémoire .Il ne visitait jamais son esprit qui planait dans l'eau, mais les sorcières bossues assuraient à lui qu‘on peut entendre même aujourd'hui son chant d'elfe, qui vient des profonds de la forêt.
Comme dans une hypnose entrant tout à coup, des milliers filles avides quittent ses villages d‘entendre la fin de ses mélodies . Toutes ces filles visitent les gîsements de ses pères après sa mort et les immergent dans les profondeurs de l'étang.Ainsi ils prouvent sa reine blanche son amour. Car à la cour des Vierges disparues, elle est l'impératrice dans le paysage nuageux. Orphelia qui avait étouffé dans le marécage qui le risquait autrefois traverser les rivières pendant qu'elle affabulait dans la pluie.
Infiniment beaucoup d'orphelines innocentes dorment à son côté, tous s'étreignent entre les plantes aquatiques. Les Vierges non tachées qui trouvaient son amour lesbien dans les câlins humides. Ils rêvent de cela de laisser sa chasteté et de faire la connaissance de le désir charnelle dans un palais avec les tours de verre. Sur le point culminant de sa folie, comme les petites filles dans le paradis rêvé, ils attendent le givre et se réveillent anxieusement pendant qu'ils expirent entre l'écume et les algues. Les aimés de la mousse, courtisée par les chevaliers malheureux dans les armements rouillés, viennent des repas de fête et des bals masqués.
La divinité blanche demande aux grenouilles avec un regard absent le nom de son aimé inanimé, de ce prince impitoyable qui étalait ses vêtements sur l'eau (diamantine) et embrassait son cou glacé. Cependant, les amphibies fantômatiques se taisaient face à ses demandes et protègent ainsi l'horreur d'un secret.
Elle essaie de s'abriter d'un cher manque, elle couronne leurs cheveux des fleurs de gibier et rêve d'être reine et princesse dans son palais de l'eau et du marécage. Eternellement elle attend d‘embrasser de nouveau son père qui était tué aux vieilles guerres  et désire immerger ses dents de vampire dans un baiser sanglant pour qu'ils puissent s'enfoncer en commun dans l'empire de l'eau d'hiver.
De l'autre côté d'un marais enveloppé dans le brouillard, la princesse défunte apparaîtra à l'avenir, comme une nymphe spectrale, dans le crépuscule, dans la pluie sous les arbres nus ou si l'automne colore les profondeurs d'une rivière insondable brun jaune .Dans un angle du palais d'eau Lavernne déplorera à l'avenir son âme seule tranquille dans l'obscurité, et simultanément nettoient  son affliction à ce lieu avec la vase et le verre, où autrefois elle planait dans sa folie.


Ange du silence
Marquise l'aimait regarder ces yeux en pierre dans la lumière trouble d'une lampe d'huile. Après le souvenir du marécage sombre, le chevalier du visage squelettique faisait passer les années pour que dans son visage germe le souvenir sur la marquise , la princesse roumaine de ses ancêtres. D'elle il apprenait la langue des violons, la fantaisie débordant de l'inspiration artistique et l'amour à la vie.
Toujours aux randonnées continues de son coeur idéaliste, des chemins s'ouvraient devant elle à des monuments commémoratifs : Le regard des reposant sous les écritures de tombe non protégées et le son du vent entre les arbres dépéris de la forêt.
Hesekiel s'imaginait faire rayer ses doigts sur la surface rugueuse, et tout à coup, il comprenait cette préférence curieuse qui éprouvait Marquise pour un ange de pierre idyllique.Ce sourire qui était tissé sur les angles de bouche doux, et ces ailes qui s'étaient brisées après le long temps, ravissaient la jeune princesse depuis son enfance laquelle elle passait innocemment entre les ombres de la ville de mort.
Elle aimait tellement cet ange inanimé que dans elle se réveillait la demande artistique , et elle désirait de frapper des mines dans la pierre , reproduire ses ailes cassées et faire retentir la musique pour lui avec les notes d'un violon cramoisi .Elle faisait cela ,d‘insuffler la vie dans la nature en pierre qui obscurcissait leur Coeur.
Pendant beaucoup d'années le sombre admirateur observait leur délire artistique et une nuit dans le caché il se mettait devant elle pour diviser ses inspirations avec elle entre les regards attentifs de la nature ailée .Hesekiel écoutait la jeune dame qui festoyait des fantaisies tombées amoureuses et lui demandait, comment elle pouvait éveiller l'ange calme élevé à la vie. Mais il épargnait son innocence seulement certains moments ... et le vampire volait, rassasié pour toujours. Il frappait avec ses sombres ailes et laissait la fille mourant, bien comme la mort, aux pieds de la sculpture immobile.
Depuis ce temps et jusqu'à aujourd'hui, on peut deviner le visage de la fille douce dans le crépuscule. Dans un château très loin, elle traverse des cents de murs puissants et entonne dans les marches de la grande forteresse son chant.Entre les toiles d‘araignées de son passé, elle se souvient des visages de toutes les dames dont les regards indolents étaient exilés dans des portraits, à les visages encadrés sans expression des vieux chevaliers ou à l'éclat rayonnant des armements en argent.Hesekiel savait depuis toujours qu'elle, aussi après la mort, reviendrait  à ses vieilles passions autour d‘exprimer  son talent mélodique et faire de la marche invisiblement par le château, si tout dort.
Depuis des siècles, leur somme est surveillé par un bel ange du marbre dont les ailes froides déchirent leur robe si elle se réveille et regarde le changement des saisons. L'ange gracieux chuchote son nom avec le fait de frémir rythmique et, finalement, elle se sent aussi morte que lui. Il y a plusieurs années ils se mariaient, et dans les veines froides de l'aimé coule le sang rêveur qui le fait s'enfoncer dans sa fantaisie d'un somnambule et fait aimer avec la passion non tenue enbride.
Hesekiel regardait pour certains moments les gargouilles avec le regard affreux qui se levaient impétueux et gardaient l'horizon.La Vierge blanche laissait ses traces dans ses griffes faibles de la chaux et du pourri, là où ils autrefois passait  le linceul qui couvrait son corps et dans sa surface rugueuse ses clous s'enfonçait à la recherche de la vie, longtemps avant qu'elle commence son voyage au chemin du château.
Comme une voix qui expire dans le souvenir,MArquise  fera retentir à l'avenir ses mélodies païennes derrière les murs d‘un salon poussiéreux, dans les marches qui étaient inondées par les ancêtres oubliés et les armements rouillés.Et elle ne perdra jamais ses inclinaisons artistiques. Au contraire elle dansera éternellement entre le lierre, équipé avec son vieux violon cramoisi, et entonnera la musique pour son amant en pierre.
La princesse de conte existe, comme si elle fut le feu stupide dans la réalité de ce cimetière, mais aucun prince mangeant la charogne ne la visitera jamais encore. Personne n'embrassait ses restes mortels autour d‘insuffler la vie à son corps se trouvant sur l'ouvrage de feuillage. Son père sombre ne l‘oubliera jamais... Sa fille sera la lumière qui dirigera tous les filles qui sont mortes par la main des belles-mères méchantes et tous les sorcières condamnées qui brûlaient dans sa misère. Elle est l'esprit du château, bien et non passager jusqu'à toute l'éternité.

Théâtre de marionnettes
L'obscurité impénétrable pesait depuis des siècles pleine à nostalgie dans ces pièces, et une bourrasque efface la lumière vacillant pauvre des chandeliers.
Pendant des siècles, il vivait avec le souvenir de ses deux filles qui avaient disparu entre les vers poussiéreux des légendes. Soudain une odeur agréable fugitive des cheveux bruns comme l'acajou remplissait le petit sombre espace.
Le vampire marchait en arrière de la fenêtre, s'inclinait au-dessus d'un lit à baldaquin sombre et commençait à appeler á la mémoire  la fascination pour ce visage qui déterminait le reste de son existence.”Favole…”, Son nom retentit dans tous coins du château et martyrise le coeur glacé du monarque affligé. Dans des vêtements de deuil, il planait jusqu'aux abîmes les plus cachés de la nostalgie. Dans sa mémoire se réveillait le souvenir riche en larmes de cette dame, et il pleurait des larmes du sang, en raison de la perte de son bijou le plus précieux.
Il imaginait leur image avant des siècles, dans la solitude de ce paysage laiteux, dans quoi il aperçu pour la première fois son corps , en tremblant et de manière ôtée dans l'animation de neige d'hiver. Même aujourd'hui, il s'en souvient, comment elle se trouvait en gelant dans le brouillard et se laissait tomber, dans les câlins les plus bien des loups blancs.
C’était lui qui préservait son innocence de la mort glacée et qui la portait dans ses brav à la calèche et les apportait jusqu'à son château et protégeait ainsi sa beauté d'une longue hibernation. Dans le calme d'un espace confortable, c'était facilement pour lud d’instruire  son origine. De manière disparue il regardait leur visage dormant lequel provoquait des images d'une ville italienne dans laquelle des gondoles glissent calmement par les sombres canaux. Et leur coeur frappant exprimait sa passion pour le théâtre, à Venise où elle réparait les petits costumes de ses poupées joyeuses et elle mentionnait son théâtre de marionnettes dans sa petite ruelle, décoré avec les couleurs claires d'un fou.
Cette nuit, le vampire tombé amoureux lui offrait à vivre dans son château , et à minuit, il organisait un bal masqué sombre dont les mélodies faisaient la belle avec les cheveux de couleur de cuivre se réveiller  de son sommeil. Hesekiel n'oublierait jamais cette expression du visage vivante et excitée dans l'aube.
Avec  le chevalier imposant dans des vêtements de tenue de gala, elle danse par la nuit infiniment, entourée par l'intérêt curieux de tous ces danseurs de la cour fatale.
Une forme de nuit ne nourrissait jamais des sentiments semblables pour un être vivant. Elle qui aurait être une banquet de fête pour les non morts , dormait cette nuit aux côtés du corps froid d’Hesekiel, disparu dans les câlins glacés du vampire.
Des cents de lunes passaient et Favole apprenait de la peine éternelle de la nature qui avait sauvé sa vie.Une prisonnière de l'esprit immortel. elle voulait participer à son malheur pour pouvoir se rafraîchir éternellement à la damnation fatale.
Il se souvenait de manière aveuglée à cette aube rayonnante et à l'innocence de sa nostalgie. Il réprimait la demande de détruire  tous cela qui entourait son fait d'être indécent dans cette chambre à coucher. Après un soupir sans force, le prince sombre continuait à appeler son malheur dans la mémoire et repentant, il se souvenait de la colère soudaine qui se relevait dans lui après elle avait refusé  son Désire pour que leur corps ne soit pas condamné à une existence tellement pourrie.
Il n'admettait pas que la tendre séduction calmait sa fureur et chassait la fille de son château pour réprimer le désir menaçant et instinctif de lui apporter la mort éternelle.Favole s'enfuyait, loin de cette nature sombre et de sa cour burlesque, sur les chemins désordonnés par des milliers des villes différentes. Toujours avec le souvenir de l'amour qu'elle avait éprouvé derrière les gros murs de la forteresse brumeuse.
Elle n'aurait jamais pressenti que leur bateau accosterait à Gênes, dans la ville qui représentait un élément de liaison dans son souvenir. Et elle rêvait d’un jour  traverser la mer de nouveau  pour rencontrer les esprits sans calme dans l'empire sombre de nouveau .Mais les années de l'absence et de la folie tourmentaient le visage de la reine. “Favole …”, les esprits de ses marionnettes sombres soupirent dans l'accord. Et ainsi elle se jetait dans la mer de Gênes, et les vagues orageuses éteignaient leur vie.
Et qui ne s'en souvient pas, comment souriait-elle à son existence fanée et était vaincue par les vagues, enfermées comme un bossu dans les sombres clochers ? Favole, l'intime des malheureux et des déformés qui étaient repoussés par ce monde, la fille de Quasimodo. Un cortège funèbre merveilleux des sirènes les accompagne dans son malheur et leur corps était enterré dans l'empire humide de la Neptune.Dans le dernier rêve des défunts, le souverain des mers les forçait à errer dans l'ivresse éternelle et créait un mur invincible lequel exilait les aimés pour toujours dans deux réalités différentes.
Maintenant loin de sa tombe sous l'eau, elle voyage dans des calèches occupé avec des diamants . cela étincelle comme le verre des sommets de la montagne couverts de neige si elle vole sur eux dans ses vêtements planant magnifiques et ses chaussures garnies de broderies avec des Saphirs.
Aucune nuit passe quoi le vampire légendaire ne pense pas au retour de Favole à son salon baroque. Dans ses rêves, elle danse au son de la musique, mais elle ne se cache plus derrière les rangées des nombreux masques des longs nez. Maintenant, elle frôle courageusement par le fourré des forêts de Verona(??) et se cache parmi les feuilles pour rêver du conte.Elle raconte à son aimé dans le lointain qu'elle quand elle était un enfant elle jouait  avec les rats dans la rue et que celui-ci la  caressaient doucement, car ils étaient les uniques qui apprenaient à l‘aimer.
Depuis ce temps-là un théâtre de marionnettes a fini ses représentations pour faire de la place libre pour une danse riche en musique et couleur. Toujours elle se souviendra des regards énigmatiques des danseurs, ces danseurs qui tombaient amoureux de la Cendrillon dans un palais vénitien. Maintenant dans les voûtes des marches infinies, elle continuera son chemin. "Je t'attends à Gênes, mon aimé imaginaire ..."
Et pendant qu'elle répète ces mots, elle fera de la marche sur le plus beau vieux port du monde de nouveau  et courra à la falaise de Nervi, si la lune est presqu'une pleine lune et les étoiles sur un paysage de lacs font danser les lucioles mélancoliques sur l'eau calme. Dans l'océan de son souvenir, le sombre aimé qui voulait danser avec elle, Sera vivant pour toujours .
Et  quand il est le minuit, elle quittera Gênes sans l'oublier jamais pour revenir dans la ville des sombres canaux. Là, à la limite du pont de soupir, elle nous racontera cette histoire, accompagnée par la musique d'un violon éclairé.








Teil 2

Libera me
il était une fois, de l'autre côté des forêts, un château sombre  qui s'élevait de façon saisissante sous mes yeux .La légende raconte que la lumière solaire ne semble pas dans l'intérieur et le brouillard le plus dense câline les visages déformés , de qui étaient nés dans la solitude.
Un lutin le risquait s'approcher à la forteresse, et même les plus belles nymphes s'enfuyaient de peur de sa sombre Silhouette.
Mais je n'ai jamais peur. Et quand je  traverse  les forêts autour de regarder ses hauts créneaux , mon sens est ensorcelé et je suis assourdi par les odeurs agréable sucrées qui sortent de lui. chaque nuit.
Cannelle, Sandelholz (???), miel.
Sans faire attention à l'harmonie qui règne dans le pays de fées, une nuit je partais pour explorer le mystère que tous craignent. Et là, dans les murs de la forteresse sombre , je découvrais le sehret sombre  : un château abandonné.
Cette nuit, je courais heureusement par les longues marches et embrassais chacun de ses vieux armements. J‘allumais les chandeliers, ils s'étaient éteints pendant beaucoup d'ans, et je tombais amoureux de la solitude innocente qui régnait là. Je tombais amoureux de la mine terrible d'une gargouille aussi  qui était le vrai visage du château. Une bête criant, ciselé dans la pierre froide, immobile et solitaire.
Quand je me réveillais au matin le plus près, j'étais transformé en cette statue affreuse. Et j'étais lié à sa Pierre pour toujours.
Et chaque nuit d'orage, je meurs du plaisir, quand je sens la pluie qui court sur mon corps en pierre. Je tombais amoureux d'un château qu'était évité par tous parce qu'ils avaient peur. Je tombais amoureux de ses créneaux et de courbes de fenêtre pointues, de ses gargouilles et portes gigantesques. C‘est merveilleux de sentir, comme ses murs câlinent ma peau, et son froid exige dans mon corps.#
Dans une embrassade immortelle, nous restons pour toujours de manière unie dans l'immobilité de la pierre, et maintenant , lui et moi, nous sommes une unique nature qui diffuse la passion derrière la pèlerine en pierre d'une gargouille. Et je sais que nous formons en commun une paire horrible et qu'autre méprisent notre union. Mais par ce refus, l'amour que nous éprouvons devient encore plus fort. Nos larmes sont chaudes comme le sang, il n'y a aucun ange plus beau que nous.
Au coeur de cette légende, les anges tombent amoureux des démons, et dans les contes, les chevaliers languissent des princesses déformées. Loin des peines, le feuillage danse au son du vent et apporte les nouvelles odeurs agréable avec lui.
Oh quelle beauté est dans l'inconnu …

Prelude
Pendant les tempêtes séculaires, les belles dames avec les mines indolent étaient réveillées après sa mort d‘un vampire légendaire de nouveau . Hesekiel qui visitait les pays sombres longtemps , s'enfonçait dans la mélancolie des âmes brumeuses et il traversait des milliers cimetières avec les anges mutilés.
En souvenir de ses plus chères filles demeurent Lavernne, la nymphe blanche qui était née sous l'eau d'un étang demi sombre dans la solitude de l'obscurité, ou la marquise, la princesse des joueuses de violon qui était tombée amoureuse dans le visage ciselé d'un ange de pierre idyllique.
Mais dans l'intérieur profond de sa mémoire une demoiselle mystérieuse  de l'origine vénitienne au nom de Favole demeurera toujours,car les années qu'il passait avec elle, déterminaient le reste de l'existence de ce prince sombre.
La légende raconte qu'Hesekiel refusait les demandes de Favoles de se transformer en sa femme pour que son âme n'y soit pas errer condamnée éternellement, comme un vampire.Il avait l'intention de préserver Favole de la mort.Donc il la chassait de son château et Favole s'enfuyait de son empire dans le lointain pour essayer oublier le souvenir de lui. Mais la tristesse consommait sa vie et elle tombait dans les vagues de la mer orageuse.
Et ainsi l'esprit de la dame vénitienne était régénéré après sa mort comme vampire, et elle purgeait ses péchés sans retrouver le chemin à son amant sombre . Avec cette peine, elle retournait de nouveau à Venise pour errer éternellement dans le purgatoire des auto-meurtriers.
Les années passaient lentement et Hesekiel vit encore dans l'obscurité de son empire fantômatique, condamné de reposer sous terre de sa patrie. Encore il vit dans le repentir après qu'il a refusé baptiser le sang de la belle demoiselle, et maintenant, il souhaite d‘avoir  cette occasion de nouveau  et  de pouvoir ajouter ce nom à sa parenté diabolique.
La lune qui semble sur la plainte nocturne, sait que le prince des vampires rêve éternellement de Favole, enfermé dans l'obscurité d'un cercueil grinçant.
Il y a un souffle de‘espoir.
Donc, pour l'instant, il peut seulement attendre Favole  et rêver des cents de corneilles qui picorent encore à son nom qui est gravé dans le château du marbre qu'il construisait pour lui.
Dans la chapelle dans laquelle les anges sourient doucement aux reposant et les feuilles mortes dansent au son des violons blessés …


La fée vénitienne
„Comme triste et beau est mon paradis„, chuchote la nymphe spectrale dans les vêtements de deuil de velours. Son nom est Favole et depuis des éternités elle vit seul. Elle dort sous l'eau des canaux sombres et rêve du brouillard dense qui inonde la surface de cette ville douce et mélancolique.
A Venise, il commence à faire la nuit froidement et musicalement, et Favole aime regarder, comme ses traces restent dans la neige qui couvre les ruelles. Grâce à ces traces, elle est encore consciente de son existence.
C‘est la ville qui caractérisait ses rêves d'enfance, quand elle mendiait encore sur les ponts abandonnés et déguisait son petit corps avec des robes multicolores d'un fou sans protection.Il y a longtemps, les marionnettes, avec lesquelles elle jouait autrefois, se sont enfoncées dans la mer de ses souvenirs, et maintenant, ils sont les masques qui éclairent le carnaval des fantômes qui déplorent encore la fille qu‘elle était autrefois.
Chacune de ses larmes marque le chemin que cette fille enfonçait avant des siècles.
A l'époque, elle décidait partir de Venise pour chercher l'extase d'une aventure et elle finissait tombé amoureux dans les griffes d'un pays inanimé.
‚Oh Hesekiel, vampire de ses souvenirs!‘ Elle souhaitait tellement retrouver sa forteresse et se réunir avec son corps glacé et mort. Mais elle mourait et devait purger la peine qui est déterminée pour ceux qui se tuent eux-mêmes, et maintenant, seulement le repentir est resté à elle.
Après qu'elle soit née dans l'obscurité, condamne d‘errer comme un fantôme, elle revenait à Venise pour réparer les marionnettes de ses dernièrs souvenirs pour mendier encore dans les ruelles nageant et décorer les masques des condamnant qui, attrapé dans l'obscurité des ponts, encore sanglotent.
Finalement, Venise a appris à  aimer Favole avec désespoir.Et si elle se décide à aller pour chercher encore le vampire de ses rêves sans faire attention au mur invisible qui se lève de façon saisissante entre les aimant, les canaux ressentiraient l'absence de Favole de nouveau douloureusement.
Oui, les années ont passé. Et maintenant, elle sent que son âme passe lentement avec le temps. Aucun fantôme errant ne pourrait supporter  telle solitude.
C'est son existence :. Elle est encore qu'énigmatique qu'autrefois et elle est encore remuée par ses pensées aux violons qui jouent à la danse des arlequins abandonnés. Elle était née à la solitude. Après la mort, elle vit à l'avenir. Maintenant, elle attend une nature que la prend dans ses bras.
„Est-ce que les parents que je n'avais jamais viendront un jour ?“,elle se demande pendant qu'elle regarde une petite image d'elle-même comme fille solitaire.
Trois ans avant, un garçon paraissant timide apparaissait devant elle, et disparaissait encore dans la tempête sur le cimetière de San Michele, avec un sourire sur le visage rouge.
Parfois il se cache derrière des masques de l'ébène et dit, son nom fut Sacha.
Une nuit qui était éclairée avec des rayons de lune, il approchait son index noir au visage de Favole et dessinait un signe énigmatique à la joue qu'il appelait la "larme des souffrants".Tout à coup il saisissait avec les petites mains au coeur sauvagement frappant, quand le hurlement d'un loup était à entendre de loin. Avec l'expression du visage s'effrayée, il disparaissait dans le crépuscule demi d'un escalier pendant qu'il pleurait amer.
Et ce garçon ? Est-il un ange ou un démon ?
L'unique qu'elle sait de ce phénomène sucré, est que sa voix est comme la musique, ses yeux diffusent la douceur et quelque chose  lui dit qu'il est aussi solitaire qu‘elle.
Avec le février vient le carnaval qui étale ses ailes du diamant sur tous les angles de la ville nageant, et à ce temps, le signe sur sa joue éclaire encore plus clair sans disparaître jamais.L'eau de sa ville aimée chuchote, un symbole de ceux, qui souhaitent parler, mais sont muets, et qui voudraient être aimés. Mais ses corps déformés angoissent les mortels.
„Comme est triste et est beau ma ville“ , la fée des tombes sanglote pendant qu'un sourire innocent sur se montre son visage .Une odeur agréable sucrée de sucre remplissait chaque angle des belles îles italiennes pendant que le coucher du soleil transforme l'eau vénitienne en rubis étincelant.
„Sacha“, chuchote Favole dans l'oreille du petit fantôme .
„Aujourd'hui, je dois partir de Venise, car l'amour a commencé à rayonner dans mon intérieur, et dans ce paradis en pierre qui inonde notre île de cadavres, le marbre est chaud et les morts sourient en bas dans son sommeil pendant qu'ils câlinent la terre humide, comme des draps de lit, qui sont encastrés dans ce palais de la glaise et des visages de couleur d'ivoire.Maintenant, je souhaite plus que jamais d'abord de rencontrer encore  mon ancien aimé et  être délivré par lui. Ainsi je montrerai au monde que les condamnés savent aimer aussi.“
Le garçon mélancolique souriait à la déesse des ombres pendant qu'il embrassait sa joue de cire et, enveloppé dans son petit linceul, il sortait pour jouer avec le feuillage du cimetière pendant que son corps commençait à disparaître lentement dans le silence du labyrinthe de mort.
Une foule des fantômes qui portaient les vêtements blancs prenait congé avec des larmes à sa déesse brillante pendant qu'un garçon soupirait dans un angle très loin de la ville vénitienne et pressait son petit corps contre les murs de la basilique.
A la tente de ciel, le crépuscule assombrissait de nouveau l'atmosphère d'une lagune triste de mort dont l'eau était nourrie par les lamentations colère.
Et Venise s'enfonçait pour éternelle dans les larmes des fantômes.


Bouilloire
Ebony n'avait jamais senti la chaleur d'un baiser. Donc, dans les épines, de son âme un coeur s'est empêtré que bat  plein de  démence et qui confond la vraie nécessité de l'amour avec une pure haine et l'esprit vindicatif.
Dans une famille religieuse, Ebony était née, caractérisé par une déformation de son sexe. Quand ils avaient 1 an, ses parents les refusaient complètement et les mettaient d'entre les arbres des forêts sombres.
Chassaient de son village cruel , la jeune sorcière grandissait dans l'état d'abandon des forêts et se cachait devant (?) un pays qui était maîtrisé par l'inquisition et dans lequel on tenait chaque déformation pour un signe du méchant.
Depuis ce temps-là l'enfant était élevé par les grands chênes et les renards qui descendaient des montagnes, et elle décidait consacrer leur existence aux études de la magie noire pour obtenir par cette connaissance le pouvoir absolu et une vengeance rapide.Il y a longtemps, un fantôme croisait son chemin au nom de Favole, attiré par son recours. Entre des cents de boissons fumant et d'abbayes abandonnées, ils échangeaient sa nostalgie la plus profonde et les rêves de ses âmes qui étaient à l'article de la mort.Ebony connaissait ce phénomène fantômatique, car pendant beaucoup d'années, elle essayait de la rencontrer et ce soir, elle apprenait que le fantôme comprendrait sa douleur et que cela possédait aussi le pouvoir nécessaire pour lui donner le don de la vengeance.
Le crépuscule venait avec les nuances sombres violettes et dans la vallée des pierres tombales la sorcière solitaire tendait son corps dans le crépuscule demi de la ville de mort pour susciter de nouveau la belle nymphe du déracinement.Un baiser de ses lèvres suffirait pour prendre Ebony dans l'obscurité des vampires et avec cela  apporter la mort à ces qui la repoussaient autrefois pendant son enfance et maudissaient son corps imparfait.
Sur ce cimetière magique Favole  se montrait et lui demandait un simple plu comme ,une contrepartie, pour son baiser sombre :Elle devait lui montrer le chemin qu'elle devait enfoncer pour être délivrée.
Immédiatement la sorcière avec les cataphotes utilisait ses capacités comme une voyante pour apercevoir le château roumain dans l'intérieur de qui la clé à  la recherché de Favole de la Rédemption se trouvait.
Les pipes du vent entre les pierres tombales fragiles devenaient toujours pures et un regard de la connaissance profonde entre le fantôme de vampire et la sorcière brillait dans la lumière des rayons de lune.
Cette nuit, Favole embrassait les lèvres de la jeune sorcière et souriait content pendant qu'elle admirait de nouveau sa beauté luttant contre la mort dans la solitude du cimetière.
Ebony était régénéré et elle tâtait que leur coeur ne frappait plus et que sa peau pâlissait pendant les crampes glacées. Pendant ces moments de l'incertitude, le vampire encore inexpérimenté répandait ses larmes pendant que Favole câlinait son corps tremblant.
L'elfe vénitien prenait congé à Ebony; leur corps se fondait avec le brouillard et elle continuait son chemin en Roumanie.Beaucoup de manière affligée, elle comprenait, que le sombre don qui souhaitait Ebony n'était rien que leur propre destin funeste.
Les arbres morts racontent que la jeune sorcière abusait son pouvoir pour apporter  la mort à ceux qui l‘avaient  abandonnés. Elle était incité par la colère et n'apprenait pas à s'habituer à sa nouvelle situation, et à cause de son inexpérience, elle était saisie par les villageois sans prendre la vengeance , quand la nuit finissait et l'aube affaiblissait ses forces sombres.
Depuis cette nuit passée dans les vieux chênes qui regardaient Ebony en grandissant, un petit chat noir se trouve  miauler éveille  tous les enfants heureusement riants qui jouent dans la paix de ses villages.
Ebony brûlait sur le bûcher de la libération chrétienne pendant que leur coeur blessé pleurait de la déception.Et quand elle faisait son dernier souffle, son âme s'élevait au ciel. Maintenant, ses yeux éclairent dans l'obscurité, si elle court par les forêts nocturnes et apprend, de chasser les rongeurs malheureux qui croisent son chemin .
Après qu'elle ait fini son chasse nocturne, elle miaule encore pendant qu'elle court plein de tristesse par les forêts et espère de trouver quelqu'un qui embrasse son petit corps de nouveau  un jour.
Sur une colline miaule Ebony pendant que sa peau brûlée se transforme en fourrure molle de l'ébène. Elle observe le village et part solitairement pour dormir de manière enroulée sous le feuillage.

Necross
Favole atteignait la Roumanie pendant qu'elle planait dans l'obscurité fantastique des forêts et tâtait, comme leur esprit s'abandonnait au labyrinthe sombre de l'obscurité.
Dans le lointain, la pleine lune frappait dans la connaissance profonde de la tente de ciel pendant que son éclat glacé passait.
Sur son voyage de pèlerin constant par la forêt de fées, elle observait, comme un beau château se levait devant elle et touchait les étoiles sur les Carpates. Somnolent en raison du paysage idyllique, son sens est affaibli par un brouillard dense et le corps de la fille spectrale s'écroulait pendant qu'elle étalait ses vêtements devant l'attente des natures de nuit.
„Favole“ , appelait le silence. „Réveille-toi, l'orpheline de l'obscurité.“
Et derrière les gros murs de la pierre, elle ouvrait les yeux de nouveau  et fixait son regard sur l'image impressionnante d'un jeune vampire avec les cheveux dorés et les yeux pâles.Par sa peau bleuâtre miroitaient encore les veines vides de sang, et à ce moment, il approchait une coupe remplie avec le sang à ses lèvres qui donnait une chaleur dorée à son portrait, comme à un ange.
Le vampire restait devant les flammes des candélabres que la lumière inondaient le grand espace, et son tenue imposante et majestueuse brillait dans le lueur vacillant.Avec la nymphe vénitienne à son côté, le non mort commençait à raconter, comme son intuition lui disait que cette nuit un fantôme immortel vienne volée à son sous-glissement .
Le vampire imposant du visage de la même façon dans l'ange affirmait connaître l'intention de son voyage ainsi que le chemin à Hesekiel, à ce grand non mort, qui, des siècles d'abord, avait transformé sa mère Marquise en vampire .
Ces halls étaient la partie d'un rêve, mais au réveil, Favole sentait le froid de la pierre, et peu après, elle comprenait que le salon sombre, dans lequel elle se trouvait, éclairait dans le clair de lune et que ses lèvres tremblaient  à cause du froid dans l'intérieur glacé du château.
„Mon nom est Abel“ , le vampire continuait pendant qu'il s'installait à côté du fantôme infatigable. „J'étais né dans l'obscurité, dans le tirait d'une princesse roumaine et de son ange en pierre aimé. Depuis beaucoup d'années le sombre présent de ma mère ne chante plus ses mélodies, depuis ce temps quand elle mourait pour toujours, tué par des villageois, avec un pieu délivrant.
Depuis sa mort, mon père garde ses restes pendant que ses ailes fragiles donnent l'ombre à la tombe de sa princesse aimée à l'avenir .“
Après qu'il ait livré son identité, il montrait Favole le Necross, une amulette qui faisait partie à sa mère Marquise il y a plusieurs années . Le jeune vampire manifestait à elle le pouvoir qui avait l'objet hérité. Cette amulette rendait vrai  le rêve de la princesse roumaine et montrait leur sa figure en pierre aimée, la vie était insufflée. Et maintenant, cela indiquerait le chemin à sa nouvelle propriétaire .
„Cette amulette te montrera le chemin à la Rédemption qui était voilé jusqu'à présent par ta peine éternelle. Même cette nuit ton vrai destin commence . Ouvre tes yeux devant une nouvelle vie!“
lentement les ombres nocturnes se dissolvaient dans l'infinité des forêts roumaines qu'étaient venus les dernières heures.Pendant cette hibernation, l'elfe fantômatique  se réveillait de son rêve entre les arbres a cause de la chaleur d'une luminosité proche. Devant elle apparaissait un champ merveilleux avec des défunts, et dans le lointain, le loup blanc des yeux brillants disparaissait dans le fourré, en chemin au château.
Encore je suis seul, chuchotait la fée avec les cheveux sombres violets pendant qu'elle regardait la vieille amulette qu'elle portait au cou.
Sur le monde venait le jour, et l'aube éclairait les sombres forêts pendant que dans le câble de matin la mélancolie des pierres tombales se montrait.
A ce moment, Favole se levait devant l'horizon de couleur de pourpre qui éclairait ses pas et remplissait le vent avec la nostalgie. Elle tâtait, comme le soleil commençait à affaiblir son esprit sombre, et elle continuait son voyage à la Rédemption, sans direction déterminée, mais en accompagnement de l'amulette mystérieuse.
Loin du château fantastique, la princesse de conte suivait le chemin des brouillards et des odeurs agréable tendres des fleurs de couleur de mauves.
„Et qui observé elle,caché  entre les branches ?“,se demandait un ange abandonné.
Peut-être, un petit lutin qui regrette beaucoup son absence.

























Teil 3


Pierrot
Après la représentation mes fils  pendaient du plafond comme chaque soir. Pendant ce temps mon corps du bois sculpté se balançait dans l'obscurité de cette pièce froide.
Beaucoup d'années avaient passé, depuis ce temps quand son monsieur avait commencé à créer ses jambes, sculpter ses traits du visage et créer sa robe d'arlequin qu'il portait pendant les représentations du grand théâtre.
Depuis sa naissance, autant de temps avait passé qu'il commençait à sentir comme des vers du bois perçaient lentement son coeur, et comme la couleur émaillée de ses  larmes grosses se desquamait graduellement, et tombait au sol. Mais son monsieur, le joueur de marionnettes, ne le manquait pas de peindre une nouvelle larme au matin le plus près, de copier son sourire rouge et de réparer sa robe pour qu'il puisse flotter  à travers les théâtres d'enfant à l'avenir.
Chaque nuit, le vieil arlequin rayonnait au feux de la rampe comme aucune deuxième marionnette. Son succès était si grand que les rires et les applaudissements des enfants le rendaient sourd dès que le rideau tombait. Mais cette courte joie devenait  morosité, quand son corps était accroché dans l'obscurité de la cave à la fin de chaque présentation  et était laissé. Seulement les rats entendaient ses lamentations.
La nuit pendant que les marionnettes jouaient une danse dans la représentation, les grands rideaux du théâtre commençaient à brûler en raison d'une bougie qui éclairaient la scène. Le feu enveloppait toutes les marionnettes et les spectateurs s'enfuyaient paniquemment à la sortie.
Tout disparaissait dans cet incendie pendant que les corps des marionnettes brûlaient à la poussière. Sous la lune, le vent commençait à souffler doucement et emportait Casimir, très loin des restes de sa vieille prison. Sa cendre se levait à un vol dont il avait rêvé depuis ce temps  quand son coeur avaient été sculptés par les mains qui avaient capturé sa vie et avaient peint son faux sourire.
De l'autre côté d'un théâtre carbonisé, la cendre des morts volait dans la liberté, touchait les étoiles et baissait en bas de la mer.


Prelude
Dans les marais, on entend la poésie des fantômes de nouveau …
Le vent raconte que les dames des visages pâles sourient encore dans l'éternité et rêvent de l'espoir de trouver une petite étincelle de lumière dans ses nuits infinies.
Venise s'enfonçait sous l'eau du Souvenir pour toujours , et les fantômes, qui accompagnaient Favole dans les nuits de sa peine, prenaient congé d´elle, quand elle décidait quitter la ville nageant pour poursuivre un espoir. Donc, un petit fantôme que s'appelle Sacha , ne la laissait jamais partir seil.
A la recherche du chemin à la paix éternelle, le fantôme traversait des pays qui étaient gouvernés par l'inquisition chrétienne et faisait la connaissance de la sorcière de forêt Ebony.
En raison d'un pacte entre les puissances sombres , la sorcière lui montrait le chemin qu'elle devait suivre pour trouver la Rédemption pour son âme. Très loin des chats noirs et des bûchers brûlant, les paysages fantastiques de la Roumanie attendaient son arrivée.
Dans l'intérieur d'un château fantomatique,  Abel, un vampire avec un visage  comme un ange,lui montaient une vieille relique : Une amulette qui faisait partie autrefois à une princesse roumaine.  Les rêves de la princesse finissaient, quand elle mourait par le pieu des villageois.
Après qu'il ait raconté la légende de ce testament à Favole, il lui remettait le Necross, un Medallion dont la lumière était la clé à la mort.
Depuis ce temps cette amulette mystérieuse mène Favole sur le chemin de l'espoir , et l'odeur de la mort devenait encore plus intensive.
A la fin de l'automne, Favole suivra encore un chemin des pleines violettes par un pays glacé et admettra que le lierre de sa tombe grimpe jusqu'aux  muss hauts  autour du couvrir la château désiré du pays . La lumière glacée est poche ..


L'épidémie sucrée et remplie de douleur .
La dernière lumière du crépuscule brillait sur les marais bas. Une lumière dorée qui voulait justement s'éteindre car on pouvait déjà reconnaître la lune  dans le lointain, et les bruits nocturnes commençaient à chanter ses mélodies dans le lieu désert.
Dans des vêtements d'affliction apparaissait Favole, le fantôme nomade, entre les derniers soupirs de l'automne. Les larmes, qui coulaient de ses yeux, se transformaient lentement en givre. Presque on pouvait reconnaître l'arrivée proche de l'hiver dans la pipe glacée du vent .
Parfois on pouvait penser que le gémir du vent exprimait son nom, comme une symphonie des fées et ondines d'eau. Lentement la lumière du crépuscule commençait à mourir dans l'eau trouble du marécage, et aux bords d'un ruisseau, l‘environnement était inondés par des odeurs  mauvaises pendant que les filles à poil long sortaient de l'eau pourrie .Les fées burlesques de l'état d'abandon se libéraient du marécage dans lequel le vide et l'odeur du mort étouffait le chant des crapauds , et venaient à Favole.
L'un d'eux faisait un pas en avant et Favole appelait son nom : Anna. Ses cheveux dorés tombaient  paresseusement et salement sur ses épaules, et ses yeux bleus comme le saphir regardaient la dame avec réserve .„La reine remplie de douleur de ces marais m'a fait remarquer ton arrivée„, chuchotait la belle nymphe avec une voix timide. „Depuis beaucoup d'années sa forme blanche  n´a plus apparu, , mais cette nuit, nous avons entendu sa voix.“
Elle t'appelait .Elle se réveillait pour que sa forme se libère des dernières siècles et sa peau devient jeune et devient d'un blanc éclatant comme autrefois.
Tout à coup  Anna éventre ses artères avec un couteau propre pour faire couler leur sang sur la terre humide.
Donc, elle embrassait doucement les rats qui couraient par-ci entre les feuilles froissant. Pendant qu'elle mordait dans ses petits corps, elle pouvait faire couler de nouveau un ruisseau des larmes rouges pour que Lavenne, la mère de tous, puisse fleurir comme une fleur.
Un éclat glacé éclairait les marais et une créature blanche apparaissait devant Favole pendant que les nymphes de reste qui s'effrayaient beaucoup, couraient dans l'obscurité de la forêt.
Son corps brillait dans une couronne de la lumière qui était si claire que les ailes transparentes qui donnaient le Deviendrait à la soi-disant „Vierge remplie de douleur“.
La reine , qui s'était trouvée dans une métamorphose continuelle depuis des siècles , était beaucoup plus rayonnante se que d'abord après qu'elle se soit réveillée de la léthargie de sa poupée blanche. Remué par la présence de l'elfe Favole demandait :
„Je voudrais trouver le chemin, le vrai sens de mon existence et la Rédemption de mon âme.“
„Favole, La clé est la mort. Il n'y a aucune Rédemption que le vrai ange de l'obscurité t'accorde“, répondait la fée blanche avec une voix impressionnante.
„Mais mon corps s'éteignait devant beaucoup d'éternités et son Baiser encore éveillait mon âme   pour qu'elle puisse errer dans la solitude. Je suis mort, mon coeur n'a plus battu depuis ce temps-là.
„La mort ne t'a jamais embrassé. Moi, je n'ai jamais fait  sa connaissance aussi,“ Lavenne continuait. Ton coeur s'arrêtait battre sous l'eau de la mer, mais sa tempête ne t'a pas fait plonger dans la vraie mort. Écoute le silence. Dans mon empire la vie n'existe pas , mais quelque chose nous lie avec lui. Les petits crapauds mouraient dans mes mains et après que je les avais enterré dans la vase, j'entendais dans le lointain  leur  coasser de nouveau .Le chœur des voix mortes continuent avec ses mélodies, c'est la musique de mon empire, la dernière respiration de la vie terrestre. Les peines gèlent notre existence, en état entre la vie et la mort. Certaines âmes cherchent la lumière pour s'en libérer, mais les plus grandes âmes qui ne trouvent pas de calme viennent à la place calme, comme l'eau de mon empire.
La mort est la fin, le silence éternel. Rien. Cherche la mort et nettoie tes peines. Necross qui accroche à ton cou, brillera, si tu sens, comme il s'approche.“
La fée disparaissait lentement et laissait le fantôme errant dans le marais, couvre avec givre. Le silence était immense.
Favole continuait son chemin et laissait la mauvaise odeur du marécage sombre . Dans les profondeurs du marais existait encore l'épidémie sucrée et des cents de Vierges sanglotant mouraient, comme chaque nuit, et laissaient ses corps, comme Ophelia, dans l'eau pourrie du marécage.
Dans l'empire de la Vierge remplie de douleur, le froid augmentait... Et les chants harmonieux annonçaient la mort de l'automne.


Violettes dans la glace

La mort est un ange, chantait Persephone, la fille maladive qui rêvait d'être une femme, de danser dans les salles avec des cents d'hommes et de vivre dans un conte des pleines sorcières et des fantômes.
Avec le regard sans force, comme celui d'une poupée triste, elle voyait continuellement par la fenêtre de sa cabane où la neige tombait doucement au sol et couvrait le chemin de la forêt.
Persephone connaissait la maladie depuis sa naissance, et bien que le froid de la neige était mortellement pour elle, elle décidait d'aller dehors à ce matin et de faire une petite promenade par la forêt pour sentir le froid que sa belle-mère lui interdisait continuellement. D‘abord elle couvrait leur visage blanc comme la neige avec un peu de poussière, dessinait un coeur rouge sur ses lèvres  et peignait ses boucles qui étaient si noires que de l'ébène.
Comme une belle princesse, elle quittait la cabane et entrait dans la forêt glacée pendant qu'elle mordait dans une pomme qui était si rouge que le sang. Il était très froid. Si froid qu'elle pensait que ses jambes ne faisaient plus cela qu'elle exigeait, et sa poitrine devenait sombre violet à cause des douleurs. De manière épuisée elle décidait de se coucher dans la neige et commençait à trembler.
„Tes lèvres sont rouges comme le sang. noir tes ailes  de mort, si tu viens m'aller cherscher„, chantait la fille.t le sang commençait à couler sous sa jupe et tacher la propreté de la neige. Sa première menstruation était venue et avec ça la fin de l'enfance.
Tout à coup un essaim des papillons bleus comme la violette volait devant son visage et a cause de l'effroi elle avalait de travers  une bouchée de la pomme. Le froid de la neige et de la pomme rouge coulaient dans la fille comme un poison mortel, au point culminant de sa puberté. Elle étouffait.
En chemin entre la vie et la mort, elle ouvrait les yeux pour un moment et voyait le monde des fantômes. Elle s'était étonnée et observait, comme une fille fantomatique avec les cheveux sombres violets embrassait son corps inanimé et léchait le sang de son jupe.
„Es-tu la mort?“, la fille demandait.
„Non, ton sang est ma nourriture, ici c'est le monde des fantômes. La mort est un ange, tu te souviens?“,répondait Favole.
„…Angélique…“, chuchotaient les bourrasques avec les ailes noires qui souriaient doucement à la fille pendant qu'elle laissait beaucoup de violettes effeuillées à son chemin. Persephone souriait à l'ange de ses chansons pendant que son âme disparaissait dans la félicité parfaite. Elle ne devenait plus  malade.
Mais Favole continuait son chemin dans le monde des fantômes pendant qu'elle coûtait du sang d'un corps récemment défunt, et regardait la belle dame avec les ailes noires  de nouveau. Ses cheveux étaient longs et sombres, et ses robes étaient étalées sur la neige et des cents de papillons bleus comme la violette flottaient autour d'eux.
Comme dans un rêve, la belle dame se penchait devant Favole et caressait son visage. Elle souriait de nouveau et disparaissait, et avec elle l'âme de la fille.
On pouvait reconnaître un chemin infini des violettes dans la neige, et Favole qui était mené par un grand pouvoir, se levait et  suivait ce chemin. Un château impressionnant se montrait au loin sur le pays des fantômes , et le Necross commençait à éclairer sur sa poitrine.
Le chemin était court, doux et plein d´espoir. La lumière glacée éclairait pour Favole jusqu'à sa Rédemption. Quand le chemin de violette était terminé, Favole regardait en arrière pour un moment
À la place ou Schneewittchen trouvait de la paix, les corbeaux et les papillons volaient ensemble et gardaient son cercueil de verre.
„Oh ma mort, je t‘aime.“, chuchotait Favole et les portes du château s'ouvraient devant elle.


La fin de l'obscurité
La lumière des candélabres éclairait une salle gigantesque dans l'intérieur de la forteresse brumeuse. Le bal masqué qui avait lieu là appelait Favole  avec enthousiasme  qui commençait à se souvenir de chaque bruit, de chaque accord des pianos, et de chaque  des mélodies particulier laquelle les musiciens de la cour spectrale entonnaient sur ses violons .
La musique était assourdissante et retentissait dans chaque angle du château. Les masques flottaient par-ci et cachaient les visages des assistants. Des cents de paires dansaient une valse de mort et planaient par-ci.
La scène commençait à enthousiasmer Favole et elle sentait, comme la musique inondait son Esprit. La symphonie tonnante du requiem affaiblissait son sens et bientôt, elle entendait les rires résonnant des hôtes qui s'amusaient de son affaiblissement.
Vos bouches éclairaient rouge de rubis pendant qu'ils montraient ses canines avec les grimaces diaboliques, et ses corps de cire tournaient autour de Favole qui était devenu inconscient en raison de cette magie musicale.
Lentement les mélodies se taisaient , les rires disparaissaient.Et il‘y avait un long silence, pendant que les flammes des bougies perdaient la force et plongeaient la salle dans une obscurité fantastique.
Favole se réveillait de son rêve, fixement comme une statue, gelée à la surface d'un vieux miroir qui se montrait entre les secteurs d'araignées d'une chambre à coucher froide.
L'odeur de l'encens inondait l'espace, et le son d'un violon commençait à retentir de nouveau.
Hesekiel, vampire et souverain sur le pays des fantômes, se trouvait devant la fenêtre de la chambre à coucher et jouait de son violon doré.
Mais une lumière curieuse interrompait sa mélodie triste. A la recherche du signe mystérieux qui venait du miroir, son regard  demeurait à sa surface. Lentement  certaines lahmes coulaient  de ses yeux sur sa joue, quand il reconnaissait l'image dans le miroir.
Le Necross brillait comme jamais avant (???) au cou de la fille qui avait gelé dans le verre. Il brillait comme le chemin que les âmes aperçoivent avant qu'ils touchent la mort.
La lumière de la paix et du silence absolu.
„Favole„, chuchotait le vampire devant l'image attrapée du miroir. Et alors, il comprenait le sens de cette lumière. Comme une marionnette, il écouté au message de l'amulette magique et allait aux portes qui cachetaient la chambre à coucher. Avec un coup, il les ouvrait.
Il perçait un pieu qui se trouvait dans la pièce, dans le coeur inanimé et déchaînait le démon qui avait maîtrisé sa nature non morte dans l'empire des vampires longtemps.
Cela durait seulement un moment fugitif .La mort venait et avec lui la lumière de Necross disparaissait et les miroirs se brisaient dans mille parties. Depuis ce temps-là deux âmes ne sont plus tourmentées par la peine. Ils étaient régénérés en commun dans le monde secret des miroirs .La peine était à la fin.
Avant qu'ils s'avancent vers la lumière,les  deux âmes remarquaient qu'un petit ange sanglotait timide entre les pierres tombales du cimetière.
„Comment tu t'appelles? Pourquoi est-ce que tu pleures et te caches entre les morts?“, Hesekiel demandait à l'enfant d'orphelines.
„J'appelle Sacha, et j'ai passé ma vie donner l'amour. Mais je n'ai jamais trouvé l'amour. Je me suis perdu et suis seul. Est-ce que je peux aller avec vous ?“, demandait l'ange avec le drap de lin sale et les ailes blanches pendant qu'il dévoilait son visage et prenait la main de Favole.
Et les trois âmes saisissaient ses mains et longeaient un chemin, ou les anges ne cessent pas de pleurer face à  l‘adieu.
Et ils sentaient cette lumière.
Froid comme la glace.
Les anges en pierre regardaient calme .A ce moment, un nombre infini des perles d'eau commençait à humecter ses corps. Les rivières de larmes qui venaient du ciel.


Bezug
                        
Bezug
Längere franz. Geschichte: Frage (beantwortet)
Status: (Frage) beantwortet Status 
Datum: 15:00 Fr 15.02.2008
Autor: Profdefrance

Hallo cerise noire
Wenn eine Zahl vor den Wort steht, handelt es sich um eine Korrektur. Fragerzeichen bedeuten, du musst selbst korrigieren oder ändern.
Du schreibst kompliziert mit langen Sätze. Das gibt zwar die Stimmung der Sümpfe, der Wälder, der Schlösse wieder,aber für den Leser ist es schon eine Herausforderung. Einige Male hast du das Verb nicht gut getroffen.
Du musst die Regel der Déterminants Possessif (sa, son leur….) unbedingt wiederholen. In diesem Forum schon mehrmals behandelt.
Mache jetzt deine eigene Korrektur und poste die Geschichte wieder hierher.



Prélude
Elle retournait au plus sombre lieu de la forteresse et regardait essoufflée l'horizon.
Quand elle prenait ces chemins 2pour la dernière fois, elle apprenait qu'il y avait les 2linceuls blancs et imprégnés par les larmes de l'autre côté des forêts fatales. Et dans chaque paradis, dans chaque vieux hall de colonnes avec les anges calmes, les souvenirs  2se sont éveillés qui n'avaient jamais été oubliés. A l'avenir les larmes noires glissent en accord le 2long des joues blanches comme la neige et sur les mines indolentes les sourires qui se cachent dans la lueur du crépuscule 2passent furtivement.
Il connaissait les visages de toutes les dames qu'il forçait à se faufiler sous les ciels orageux. Entre les princes funestes c´était lui qui se cachait entre les masques des bêtes terribles et  2qui embrassait les joues des beaux gracieux. Quand il câlinait ses poitrines, les longues rangées de rubis qui coulaient dans ses veines en sortaient  pendant que les demoiselles qui étaient à l'article de la mort gémissaient et courant de larmes se déchaînaient.
Hesekiel, le chevalier enveloppé dans le brouillard. Les fantômes dormant dans ses draps des feuilles mortes te maudissent. L'éclat vert bleu de tes yeux aspire à annoncer la poésie des dames sans calme . Infiniment beaucoup de roses fanées pleurent à cause d'eux.
Comme le lierre rampant, les silhouettes en forme de vagues viennent dans la solitude de la chambre à coucher vide et t'accompagnent par les toiles de ta mémoire. Sur le point culminant de tes souvenirs, tu aspireras à caresser  2de nouveau les cheveux noirs bleus de l'une des dames.
Dans 2l´emprise de ton irréalité, comme un fantôme caché dans des clochers abandonnés, maintenant le sang 2des roses des autres temps goutte de ses lèvres.


La disparue des orphelines
Cette nuit, il 2découvrait le premier éclat de la pleine lune dans le souvenir de ce visage pâle. Un phénomène aussi sait que la neige…
Hesekiel éveillait dans son esprit le souvenir de Lavernne, la demoiselle avec les cheveux dorés qu'il avait vue descendre 2dans les sombres marais entre les forêts  des siècles2 passés.
Pendant qu'il liait l'une avec l'autre des étoiles dans l'aube, il se souvenait de son éclat pâle. La légende signifie que 2pendant les croisades 2d´antan beaucoup de demoiselles devenaient 2des orphelines besogneuses. Lavernne, qui s'imaginait en tremblant la mort de son père, s'égarait avec des crampes 2tressaillantes dans des labyrinthes avec les chemins infinis.
Après un long soupir le vieux vampire dessinait 2dans sa mémoire  la propreté de cette expression du visage remplie par les larmes, trouble aux bords d'un étang. Il calme leurs lamentations et dans une embrassade magnifique il embrassait ses veines qui étaient affaiblies par l'affliction. Ainsi il faisait nager son corps de manière tendue sur le silence de l'eau.
Maintenant, il s'imaginait, à la surface frisée d'un lac, comme elle germe dans l'obscurité sinistre. 2Bitte den Satz analysiern. Kein Zusammenhang.
Autrefois, ils trouvaient son cadavre boursouflé au bord d'une rivière. On n'a jamais 2découvert ce  qui s'était passé avec ce corps de cire, non animé. On dit que leurs cheveux dorés deviennent blancs et que sur ses lèvres 2sombres violettes se montrait un sourire sucré.
„Lavernne…“ Les lèvres du non mort se souviennent encore de son nom. Dans la solitude de sa chambre à coucher, il entend la musique d'un vieux piano qui ranime la danse de ses cheveux blancs dans sa mémoire .Il ne visitait jamais son esprit qui planait sur l'eau, mais les sorcières bossues lui assuraient qu‘on peut entendre même aujourd'hui son chant d'elfe, qui vient des 2fonds de la forêt.
Comme dans une hypnose 2venant tout à coup, des milliers de filles avides quittent 2leurs villages 2pour entendre la fin de ces mélodies . Toutes ces filles visitent les 2tombes de leurs pères après leur mort et les immergent dans les profondeurs de l'étang. Ainsi 2elles prouvent leur reine blanche leur amour. Car à la cour des Vierges disparues, elle est l'impératrice dans le paysage nuageux. Orphelia s´était étouffé dans le marécage alors qu´elle risquait autrefois de traverser les rivières pendant qu'elle affabulait sous la pluie.
Infiniment beaucoup d'orphelines innocentes dorment à son côté, tous s'étreignent entre les plantes aquatiques. Les Vierges non tachées trouvaient son amour lesbien dans les câlins humides. Ils(oder elles) rêvent de cela de laisser sa chasteté et de faire la connaissance du désir charnel dans un palais aux tours de verre. Sur le point culminant de sa folie, comme les petites filles dans le paradis rêvé, ils(warum ils ?) attendent le givre et se réveillent anxieusement pendant qu'ils ? expirent entre l'écume et les algues. Les aimées de la mousse, courtisée par les chevaliers malheureux dans les armures rouillées, viennent des repas de fête et des bals masqués.
La divinité blanche demande aux grenouilles avec un regard absent le nom de son aimé inanimé, de ce prince impitoyable qui étalait ses vêtements sur l'eau 2cristalline et embrassait son cou glacé. Cependant, les amphibies fantomatiques se taisaient face à ses demandes et 2protégeaient ainsi l'horreur d'un secret.
Elle essaie de s'abriter d'un (cher manque ???), elle couronne leurs cheveux de fleurs de gibier et rêve d'être reine et princesse dans son palais de l'eau et du marécage. Eternellement elle attend d‘embrasser de nouveau son père qui était tombé dans ces guerres d´autrefois et désire immerger ses dents de vampire dans un baiser sanglant pour qu'ils puissent s'enfoncer en commun dans l'empire de l'eau hivernale.
De l'autre côté d'un marais enveloppé dans le brouillard, la princesse défunte apparaîtra à l'avenir, comme une nymphe spectrale, dans le crépuscule, dans la pluie sous les arbres nus où l'automne colore les profondeurs d'une rivière insondable brun jaune .Dans un coin du palais d'eau, Lavernne déplorera à l'avenir son âme seule, tranquille dans l'obscurité, et nettoie simultanément son affliction à ce lieu plein de vase et de verre où autrefois elle planait dans sa folie.


Ange du silence
Marquise aimait regarder ces yeux en pierre dans la lumière trouble d'une lampe d'huile. Après le souvenir du marécage sombre, le chevalier du visage squelettique faisait passer les années pour que dans son visage germe le souvenir de la marquise , la princesse roumaine de ses ancêtres. D'elle il apprenait la langue des violons, la fantaisie débordant de l'inspiration artistique et de l'amour de la vie.
Toujours lors des randonnées continues de son cœur idéaliste, des chemins s'ouvraient devant elle à des monuments commémoratifs : Le regard des reposants sous les épitaphes des tombes non protégées et le son du vent entre les arbres dépéris de la forêt.
Hesekiel s'imaginait faire rayer ses doigts sur la surface rugueuse, et tout à coup, il comprenait cette préférence curieuse qui prenait Marquise pour un ange de pierre idyllique. Ce sourire qui était tissé sur les angles de la douce bouche, et ces ailes qui s'étaient brisées après ce long temps, ravissaient la jeune princesse depuis son enfance laquelle elle avait passée innocemment entre les ombres de la ville de la mort.
Elle aimait tellement cet ange inanimé que dans elle se réveillait le goût artistique , et elle désirait frapper des mines ??? dans la pierre , reproduire ses ailes cassées et faire retentir la musique pour lui avec les notes d'un violon cramoisi .Elle voulait faire cela , insuffler la vie dans cette nature de pierre qui obscurcissait leur Cœur.
Pendant de longues années le sombre admirateur observait leur délire artistique et une nuit en cachette, il se mettait devant elle pour partager ses inspirations avec elle entre les regards attentifs de la nature ailée .Hesekiel écoutait la jeune femme qui festoyait des fantaisies amoureuses et lui demandait, comment elle pouvait éveiller l'ange calme (élevé à la vie ???). Mais il épargnait son innocence seulement à certains moments ... et le vampire s´envolait, rassasié pour toujours. Il frappait avec ses sombres ailes et laissait la fille mourante, comme la mort, aux pieds de la sculpture immobile.
Depuis ce temps et jusqu'à aujourd'hui, on peut deviner le visage de la fille douce dans le crépuscule. Dans un château très loin, elle traverse des centaines de murs puissants et entonne dans les marches de la grande forteresse son chant. Entre les toiles d‘araignées de son passé, elle se souvient des visages de toutes les dames dont les regards indolents étaient exilés dans des portraits, les visages encadrés sans expression des vieux chevaliers ou à l'éclat rayonnant des armures en argent. Hesekiel savait depuis toujours qu'elle aussi après la mort, reviendrait  à ses vieilles passions d‘exprimer  son talent mélodique et marcher, invisible, à travers  ce château, alors que tout était endormi.
Depuis des siècles, son sommeil était surveillé par un bel ange de marbre dont les ailes froides déchireraient leur robe si parfois elle se réveillait et regardait le changement des saisons. L'ange gracieux chuchote son nom en frémissant de façon rythmique et, finalement, elle se sent aussi morte que lui. Voilà  plusieurs années qu´ils se marièrent, et dans les veines froides de l'aimé coule le sang rêveur qui le fait s'enfoncer dans sa fantaisie d'un somnambule et fait aimer avec la passion sans limite.
Hesekiel regardait parfois les gargouilles avec le regard affreux qui se levaient impétueux et surveillaient l'horizon. La Vierge blanche laissait ses traces (??dans ses griffes faibles de la chaux ??? et du pourri), là où autrefois ils passaient  le linceul qui couvrait son corps et dans sa surface rugueuse ses clous s'enfonçaient à la recherche de la vie, longtemps avant qu'elle commence son voyage au chemin du château.
Comme une voix qui expire dans le souvenir, Marquise  fera retentir à l'avenir ses mélodies païennes derrière les murs d‘un salon poussiéreux, dans les marches qui étaient inondées par les ancêtres oubliés et les armures rouillées. Et elle ne perdra jamais ses penchants artistiques. Au contraire elle dansera éternellement entre le lierre, munie de son vieux violon cramoisi, et entonnera la musique pour son amant en pierre.
La princesse de conte existe, comme si elle fût le feu stupide dans la réalité de ce cimetière, mais aucun prince ne mangeant de la charogne ne la visitera jamais plus. Personne n'embrassait ses restes mortels pour insuffler la vie à son corps se trouvant sur l'ouvrage de feuillage. Son père sombre ne l‘oubliera jamais... Sa fille sera la lumière qui dirigera toutes les filles qui sont mortes par la main des belles-mères méchantes et toutes les sorcières condamnées qui brûlaient dans sa  misère. Elle est l'esprit permanant du château, jusqu'à toute l'éternité.

Théâtre de marionnettes
L'obscurité impénétrable pesait depuis des siècles pleine de nostalgie dans ces pièces, et une bourrasque efface la pauvre lumière 1vacillante des chandeliers.
Pendant des siècles, il vivait avec le souvenir de ses deux filles qui avaient disparu 1dans la vermine poussiéreuse des légendes. Soudain une odeur agréable fugitive des cheveux bruns comme l'acajou remplissait le1 petit espace sombre.
Le vampire marchait 1derrière la fenêtre, s'inclinait au-dessus d'un lit à baldaquin sombre et commençait à 1en appeler 1à la mémoire 1de la fascination pour ce visage qui déterminait le reste de son existence.”Favole…”, Son nom retentit dans tous coins du château et martyrise le 1cœur glacé du monarque affligé. Dans des vêtements de deuil, il planait jusqu'aux abîmes 1de la nostalgie les plus cachés. Dans sa mémoire se réveillait le souvenir riche en larmes de cette dame, et il pleurait des larmes 1de sang, en raison de la perte de son bijou le plus précieux.
Il imaginait leur image avant des siècles, dans la solitude de ce paysage laiteux, dans quoi il aperçu pour la première fois son corps , en tremblant et de manière ôtée dans l'animation de 1la neige d'hiver. Même aujourd'hui, il s'en souvient, comment elle se trouvait en 1se gelant dans le brouillard et se laissait tomber, dans les câlins les 1meilleurs des loups blancs.
C’était lui qui préservait son innocence de la mort glacée et qui la portait dans ses 1bras 1au calèche et 1l´apportait jusqu'à son château et protégeait ainsi sa beauté d'une longue hibernation. Dans le calme d'un espace confortable, c'était 2facile pour 2lui ?d’instruire ?  son origine. Disparate, il regardait leur ? (oder son) visage dormant lequel provoquait des images d'une ville italienne dans laquelle des gondoles glissent calmement 2dans les sombres canaux. Et leur 2cœurs battants 2exprimaient sa passion pour le théâtre, à Venise où elle réparait les petits costumes de ses poupées joyeuses et elle ( ?mentionnait ?)son théâtre de marionnettes dans sa petite ruelle, décoré avec les couleurs claires d'un fou.
Cette nuit, le vampire tombé amoureux lui offrait 2de vivre dans son château , et à minuit, il organisait un bal masqué sombre dont les mélodies faisaient la belle avec les cheveux de couleur de cuivre se 2réveillant  de 2leur sommeil. Hesekiel n'oublierait jamais cette expression du visage 2vivant et 2excité dans l'aube.
Avec  le chevalier imposant dans des vêtements de tenue de gala, elle danse 2infiniment 2toute la nuit, entourée par l'intérêt curieux de tous ces danseurs de la cour fatale.
Une forme de nuit ne nourrissait jamais des sentiments semblables pour un être vivant. Elle qui aurait 2dû être 2un banquet de fête pour les non morts , dormait cette nuit 2là aux côtés du corps froid d’Hesekiel, disparue dans les câlins glacés du vampire.
Des 2centaines de lunes passaient et Favole apprenait de la peine éternelle de la nature qui avait sauvé sa vie. Une prisonnière de l'esprit immortel. elle voulait participer à son malheur pour pouvoir se rafraîchir éternellement à la damnation fatale.
Il se souvenait de manière aveuglée 2de cette aube rayonnante et 2de l'innocence de sa nostalgie. Il réprimait la demande de détruire  2tout cela qui entourait son fait d'être indécent dans cette chambre à coucher. Après un soupir sans force, le prince sombre continuait à appeler son malheur dans la mémoire et repentant, il se souvenait de la colère soudaine qui se relevait dans lui après 2 qu´elle 2ait refusé  son 2désir pour que 2leurs corps ne soient pas 2condamnés2 à une existence 2toute pourrie.
Il n'admettait pas que la tendre séduction calmait sa fureur et chassait la fille de son château pour réprimer le désir menaçant et instinctif de lui apporter la mort éternelle. Favole s'enfuyait, loin de cette nature sombre et de sa cour burlesque, sur les chemins désordonnés 2passant par des milliers 2de villes différentes. Toujours 2vivre avec le souvenir de l'amour qu'elle avait éprouvé derrière les gros murs de la forteresse brumeuse.
Elle n'aurait jamais pressenti que leur bateau accosterait à Gênes, dans la ville qui représentait un élément de liaison dans son souvenir. Et elle rêvait 2de  traverser 2un jour la mer pour rencontrer 2de nouveau  les esprits sans calme dans l'empire sombre2.Mais les années de l'absence et de la folie tourmentaient le visage de la reine. “Favole …”, les esprits de ses marionnettes sombres soupirent dans l'accord. Et ainsi elle se jetait dans la mer de Gênes, et les vagues orageuses éteignaient leur(oder sa) vie.
Et qui ne s'en souvient pas, 2 combien souriait-elle à son existence fanée et était vaincue par les vagues, 2enfermée comme un bossu dans les sombres clochers ? Favole, l'intime des malheureux et des déformés qui étaient repoussés par ce monde, la fille de Quasimodo. Un cortège funèbre merveilleux des sirènes les accompagne dans son malheur et leur corps était enterré dans l'empire humide de 2Neptune. Dans le dernier rêve des défunts, le souverain des mers les forçait à errer dans l'ivresse éternelle et créait un mur invincible lequel exilait les 2amants pour toujours dans deux réalités différentes.
Maintenant loin de sa tombe sous l'eau, elle voyage dans des calèches occupé avec des diamants 2qui 2étincellent comme le verre des sommets de la montagne couverts de neige 2lorsqu´elle vole sur eux 2planant dans ses vêtements magnifiques et ses chaussures garnies de broderies avec des Saphirs.
Aucune nuit passe 2sans que le vampire légendaire ne pense2 au retour de Favole 2dans son salon baroque. Dans ses rêves, elle danse au son de la musique, mais elle ne se cache plus derrière les rangées des nombreux masques 2aux longs nez. Maintenant, elle frôle courageusement le fourré des forêts de 2Véronne et se cache parmi les feuilles pour rêver du conte. Elle raconte à son aimé dans le lointain 2que lorsqu´ elle était un enfant elle jouait  avec les rats dans la rue et que 2ceux-ci la  caressaient doucement, car ils étaient les 2seuls qui apprenaient à l‘aimer.
Depuis ce temps-là un théâtre de marionnettes a fini ses représentations pour faire 2 place libre 2à une danse riche en musique et couleur. Toujours elle se souviendra des regards énigmatiques des danseurs, ces danseurs qui tombaient amoureux de 2 Cendrillon dans un palais vénitien. Maintenant dans les voûtes des marches infinies, elle continuera son chemin. "Je t'attends à Gênes, mon aimé imaginaire ..."
Et pendant qu'elle répète ces mots, elle fera 2de nouveau de la marche sur le plus beau vieux port du monde2 et courra à la falaise de Nervi, 2quand bientôt il sera pleine lune et 2quand les étoiles sur un paysage des lacs 2feront danser les lucioles mélancoliques sur l'eau calme. Dans l'océan de son souvenir, le sombre aimé qui voulait danser avec elle, 2sera vivant pour toujours .
Et  quand il sera minuit, elle quittera Gênes sans 2jamais l'oublier 2et pour revenir dans la ville des sombres canaux. Là, à la limite du pont 2des 2soupir2, elle nous racontera cette histoire, accompagnée par la musique d'un violon éclairé.








Teil 2

Libera me
il était une fois, de l'autre côté des forêts, un château sombre  qui s'élevait de façon saisissante sous mes yeux. La légende raconte que la lumière solaire ne 2penêtre pas dans l'intérieur et le brouillard le plus dense câline les visages déformés , de 2ceux qui étaient nés dans la solitude.
Un lutin risquait 2de s'approcher 2de la forteresse, et même les plus belles nymphes s'enfuyaient de peur de sa sombre Silhouette.
Mais 2moi je n'ai jamais 2eu peur. Et quand je  traverse  les forêts 2tout autour 2je 2regarde 2ces hauts créneaux , mon sens est ensorcelé et je suis 2abasourdi par les odeurs 2agréables sucrées qui sortent de lui chaque nuit.
Cannelle, 2bois de santal , miel.
Sans faire attention à l'harmonie qui règne dans le pays de fées, une nuit je partais pour explorer le mystère que tous craignent. Et là, dans les murs de la forteresse sombre , je découvrais le sehr ?? et sombre  : un château abandonné.
Cette nuit, je courais heureusement par les longues marches et embrassais chacune de ses vielles armures. J‘allumais les chandeliers, ils s'étaient éteints pendant beaucoup d'2années, et je tombais amoureux de la solitude innocente qui régnait là. Je tombais amoureux de la mine terrible d'une gargouille aussi  qui était le vrai visage du château. Une bête criant, ciselé dans la pierre froide, immobile et solitaire.
Quand je me réveillais au matin le plus 2tôt, j'étais transformé en cette statue affreuse. Et j'étais lié à sa 2pierre pour toujours.
Et chaque nuit d'orage, je meurs 2de plaisir, quand je sens la pluie qui court sur mon corps en pierre. Je tombais amoureux d'un château 2qui était évité par tous parce qu'ils avaient peur. Je tombais amoureux de ses créneaux et de courbes de fenêtre pointues, de ses gargouilles et portes gigantesques. C´était merveilleux de sentir, comme ses murs câlinent ma peau, et 2leur froid 2pénêtre dans mon corps.#
Dans une embrassade immortelle, nous restons pour toujours 2 unis dans l'immobilité de la pierre, et maintenant , lui et moi, nous sommes une unique nature qui diffuse la passion derrière la pèlerine en pierre d'une gargouille. Et je sais que nous formons en commun un 2couple horrible et que 2les autres méprisent notre union. Mais par ce refus, l'amour que nous éprouvons devient encore plus fort. Nos larmes sont chaudes comme le sang, il n'y a aucun ange plus beau que nous.
Au 2cœur de cette légende, les anges tombent amoureux des démons, et dans les contes, les chevaliers languissent des princesses déformées. Loin des peines, le feuillage danse au son du vent et apporte les nouvelles odeurs 2agréables avec lui.
Oh quelle beauté est dans l'inconnu …

Prelude
Pendant les tempêtes séculaires, les belles dames avec les mines 2indolentes étaient 2 de nouveau réveillées  après 2la mort d‘un vampire légendaire. Hesekiel qui visitait les pays sombres longtemps , s'enfonçait dans la mélancolie des âmes brumeuses et il traversait des milliers 2de cimetières avec les anges mutilés.
En souvenir de ses plus chères filles demeurent Lavernne, la nymphe blanche qui était née sous l'eau d'un étang demi sombre dans la solitude de l'obscurité, ou la marquise, la princesse des joueuses de violon qui était tombée amoureuse dans le visage ciselé d'un ange de pierre idyllique.
Mais dans l'intérieur profond de sa mémoire une demoiselle mystérieuse  2d´origine vénitienne au nom de Favole demeurera toujours, car les années qu'il passait avec elle, déterminaient le reste de l'existence de ce prince sombre.
La légende raconte qu'Hesekiel refusait les demandes de Favoles de se transformer en sa femme pour que son âme n'y soit pas condamnée à errer éternellement, comme un vampire. Il avait l'intention de préserver Favole de la mort. Donc il la 2chassa de son château et Favole s'enfuyait de son empire dans le lointain pour essayer 2d´en oublier 2son souvenir. Mais la tristesse consommait sa vie et elle tombait dans les vagues de la mer orageuse.
Et ainsi l'esprit de la dame vénitienne était régénéré après sa mort comme vampire, et elle purgeait ses péchés sans retrouver le chemin 2de son amant sombre . Avec cette peine, elle retournait de nouveau à Venise pour errer éternellement dans le purgatoire des 2suicidés.
Les années passaient lentement et Hesekiel vit encore dans l'obscurité de son empire 2fantomatique, condamné de reposer sous la terre de sa patrie. 2 Il vit 2encore dans le repentir après qu'il a refusé 2de baptiser le sang de la belle demoiselle, et maintenant, il souhaite d‘avoir 2 de nouveau   cette occasion  et  de pouvoir ajouter ce nom à sa parenté diabolique.
La lune qui 2brille sur la plainte nocturne, sait que le prince des vampires rêve éternellement de Favole, enfermé dans l'obscurité d'un cercueil grinçant.
Il y a un souffle 2d´espoir.
Donc pour l'instant il peut seulement attendre Favole  et rêver 2de centaines de corneilles qui picorent encore 2son nom qui est gravé dans le château 2de marbre qu'il 2avait tconstruit pour lui.
Dans la chapelle dans laquelle les anges sourient doucement aux 2reposants et les feuilles mortes dansent au son des violons blessés …


La fée vénitienne
„Comme triste et beau est mon paradis„, chuchote la nymphe spectrale dans les vêtements de deuil de velours. Son nom est Favole et depuis des éternités elle vit 2seule. Elle dort sous l'eau des canaux sombres et rêve du brouillard dense qui inonde la surface de cette ville douce et mélancolique.
A Venise, il commence à faire 2 nuit froidement et musicalement, et Favole aime regarder, comme ses traces restent dans la neige qui couvre les ruelles. Grâce à ces traces, elle est encore consciente de son existence.
C‘est la ville qui caractérisait ses rêves d'enfance, quand elle mendiait encore sur les ponts abandonnés et déguisait son petit corps avec des robes multicolores d'un fou sans protection. Il y a longtemps, les marionnettes, avec lesquelles elle jouait autrefois, se sont enfoncées dans la mer de ses souvenirs, et maintenant, ils sont les masques qui éclairent le carnaval des fantômes qui déplorent encore la fille qu‘elle était autrefois.
Chacune de ses larmes marque le chemin que cette fille enfonçait avant des siècles.
A l'époque, elle décidait 2de partir de Venise pour chercher l'extase d'une aventure et elle finissait 2par 2tomber 2amoureuse dans les griffes d'un pays inanimé.
‚Oh Hesekiel, vampire de ses souvenirs! Elle souhaitait tellement retrouver sa forteresse et se réunir avec son corps glacé et mort. Mais elle mourait et devait purger la peine qui 2était 2inscrite pour ceux qui se 2suicident, et 2seulement 2maintenant le repentir est resté 2en elle.
Après qu'elle soit née dans l'obscurité, 2condamnée 2à errer comme un fantôme, elle revenait à Venise pour réparer les marionnettes de ses 2derniers souvenirs pour mendier encore dans les ruelles ??nageant ?? et décorer les masques des condamnées qui 2attrapés dans l'obscurité des ponts 2sanglotaient encore.
Finalement, Venise a appris à  aimer Favole avec désespoir. Et si elle se décide 2d´ aller chercher encore le vampire de ses rêves sans faire attention au mur invisible qui se lève de façon saisissante entre les 2amants, les canaux ressentiraient 2de nouveau 2douloureusement l'absence de Favole.
Oui, les années ont passé. Et maintenant, elle sent que son âme passe lentement avec le temps. Aucun fantôme errant ne pourrait supporter  telle solitude.
C'est son existence :. Elle est encore 2plus énigmatique qu'autrefois et elle est encore remuée par ses pensées aux violons qui jouent à la danse des arlequins abandonnés. Elle était née 2dans la solitude. Après la mort, elle vit 2dans l'avenir. Maintenant, elle attend 2 qu´une ??nature ?? la 2prenne dans ses bras.
„Est-ce que les parents que je n'avais jamais 2eus viendront un jour ?“,elle se demande pendant qu'elle regarde une petite image d'elle-même comme fille solitaire.
Trois ans 2auparavant, un garçon 2 à l´air timide apparaissait devant elle, et disparaissait encore dans la tempête sur le cimetière de San Michele, avec un sourire sur le visage rouge.
Parfois il se cache derrière des masques de l'ébène et dit 2que son nom 2était Sacha.
Une nuit qui était éclairée avec des rayons de lune, il approchait son index noir au visage de Favole et dessinait un signe énigmatique à la joue qu'il appelait la "larme des souffrants". Tout à coup il saisissait avec les petites mains au 2cœur frappant 2sauvagement, quand on 2pouvait entendre au loin le hurlement d'un loup . Avec l'expression du visage 2effrayée, il disparaissait dans le 2demi crépuscule d'un escalier pendant qu'il pleurait 2amerement.
Et ce garçon ? Est-il un ange ou un démon ?
2La seule chose qu'elle sait de ce phénomène sucré, est que sa voix est comme la musique. 2Ses yeux diffusent la douceur et quelque chose  lui dit qu'il est aussi solitaire qu‘elle.
2En février vient le carnaval qui étale ses ailes 2de diamant sur tous les 2quartiers de la ville 2aquatique, et à ce temps, le signe sur sa joue 2 s´illumine encore plus 2intensément sans jamais  2disparaître. L'eau de sa ville aimée chuchote, un symbole de ceux qui souhaitent parler, 2 et qui voudraient être aimés mais sont muets. Mais ses corps déformés angoissent les mortels.
„Comme 2elle est triste et est 2belle ma ville“ , la fée des tombes sanglote pendant qu'un sourire innocent se montre 2sur son visage .Une odeur agréable sucrée remplissait chaque 2endroit des belles îles italiennes pendant que le coucher du soleil transforme l'eau vénitienne en rubis étincelant.
„Sacha“, chuchote Favole dans l'oreille du petit fantôme .
„Aujourd'hui, je dois partir de Venise, car l'amour a commencé à rayonner dans mon intérieur, et dans ce paradis en pierre qui inonde notre île de cadavres, le marbre est chaud et les morts sourient en bas dans son sommeil pendant qu'ils câlinent la terre humide, comme des draps de lit, qui sont encastrés dans ce palais de la glaise et des visages de couleur d'ivoire. Maintenant, je souhaite plus que jamais d'abord de rencontrer encore  mon ancien aimé et  être délivré par lui. Ainsi je montrerai au monde que les condamnés savent aimer aussi.“
Le garçon mélancolique souriait à la déesse des ombres pendant qu'il embrassait sa joue de cire et, enveloppé dans son petit linceul, il sortait pour jouer avec le feuillage du cimetière pendant que son corps commençait à disparaître lentement dans le silence du labyrinthe de mort.
Une foule 2de fantômes qui portaient les vêtements blancs prenait congé avec des larmes 2de sa déesse brillante pendant qu'un garçon soupirait dans un 2lieu très loin de la ville vénitienne et pressait son petit corps contre les murs de la basilique.
???A la tente ????? de ciel, le crépuscule assombrissait de nouveau l'atmosphère d'une lagune triste de mort dont l'eau était nourrie par les lamentations 2 en colère.
Et Venise s'enfonçait pour 2l´éternité dans les larmes des fantômes.


Bouilloire
Ebony n'avait jamais senti la chaleur d'un baiser. Donc, dans les épines, de son âme un 2cœur s'est empêtré 2et bat  plein de  démence et confond la vraie nécessité de l'amour avec une pure haine et 2un sprit vindicatif.
Dans une famille religieuse, Ebony était née, caractérisé par une déformation de son sexe. 2A l´age de un an, ses parents les 2refusèrent complètement et les 2déposèrent entre les arbres des forêts sombres.
2Chassée de son village cruel , la jeune sorcière grandissait 2 abandonnée dans les forêts et se cachait 2d´un pays qui était maîtrisé par l'inquisition et dans lequel on tenait chaque déformation pour un signe 2de méchanceté.
Depuis ce temps-là l'enfant était élevé par les grands chênes et les renards qui descendaient des montagnes, et elle décidait 2de consacrer leur existence aux études de la magie noire pour obtenir par cette connaissance le pouvoir absolu et une vengeance rapide. Il y a longtemps, un fantôme croisait son chemin au nom de Favole, attiré par son recours. Entre des 2centaines de boissons 2fumantes et d'abbayes abandonnées, ils échangeaient sa nostalgie la plus profonde et les rêves de ses âmes qui étaient à l'article de la mort. Ebony connaissait ce phénomène 2fantomatique, car pendant beaucoup d'années, elle essayait de la rencontrer et ce soir, elle apprenait que le fantôme comprendrait sa douleur et 2qu´il possédait aussi le pouvoir nécessaire pour lui donner le don de la vengeance.
Le crépuscule venait avec les nuances sombres violettes et dans la vallée des pierres tombales la sorcière solitaire tendait son corps dans le 2demi crépuscule de la ville de 2la mort pour susciter de nouveau la belle nymphe du déracinement. Un baiser de ses lèvres suffirait pour prendre Ebony dans l'obscurité des vampires et avec cela  apporter la mort à 2ceux qui la repoussaient autrefois pendant son enfance et maudissaient son corps imparfait.
Sur ce cimetière magique Favole  se montrait et lui demandait une simple 2faveur 2en contrepartie pour son baiser sombre :Elle devait lui montrer le chemin qu'elle devait 2éffectuer pour être délivrée.
Immédiatement la sorcière avec les cataphotes utilisait ses capacités comme une voyante pour apercevoir 2 l´intérieur 2du château roumain 2où se trouvait la clé de la Rédemption 2que Favole recherchait.
Les pipes du vent entre les pierres tombales fragiles devenaient toujours pures et un regard de la connaissance profonde entre le 2vampire fantôme et la sorcière brillait dans la lumière des rayons de 2la lune.
Cette nuit, Favole embrassait les lèvres de la jeune sorcière 2contente et souriait pendant qu'elle admirait de nouveau sa beauté luttant contre la mort dans la solitude du cimetière.
Ebony 2s´était 2régénérée et elle tâtait que leur 2cœur ne 2battaient plus  et que sa peau pâlissait pendant les crampes glacées. Pendant ces moments de l'incertitude, le vampire encore inexpérimenté répandait ses larmes pendant que Favole câlinait son corps tremblant.
L'elfe vénitien prenait congé à Ebony; leur corps se fondait avec le brouillard et elle continuait son chemin en Roumanie. 2Très affligée, elle comprenait, que le sombre don 2que souhaitait Ebony n'était rien que leur propre destin funeste.
Les arbres morts racontent que la jeune sorcière abusait 2de son pouvoir pour apporter  la mort à ceux qui l‘avaient  abandonnés. Elle était incité par la colère et n'apprenait pas à s'habituer à sa nouvelle situation, et à cause de son inexpérience, elle était saisie par les villageois sans prendre la vengeance , quand la nuit finissait et l'aube affaiblissait ses forces sombres.
Depuis cette nuit passée dans les vieux chênes qui regardaient Ebony 2 grandissant, un petit chat noir 2se mit à  miauler2et  2éveilla tous les enfants heureusement riants qui jouent dans la paix de 2ces villages.
Ebony brûlait sur le bûcher de la libération chrétienne pendant que leur 2cœur blessé pleurait de2 déception. Et quand elle 2fit son dernier souffle, son âme s'élevait au ciel. Maintenant, ses yeux éclairent 2 l'obscurité, 2lorsque elle court par les forêts nocturnes et apprend 2à chasser les rongeurs malheureux qui croisent son chemin .
Après qu'elle ait fini 2sa chasse nocturne, elle miaule encore pendant qu'elle court plein de tristesse par les forêts et espère 2trouver quelqu'un qui 2un jour embrassera 2à nouveau  son petit corps.
Sur une colline miaule Ebony pendant que sa peau brûlée se transforme en fourrure molle de l'ébène. Elle observe le village et part 2solitaire pour dormir 2recroquevillée sous le feuillage.

Necross
Favole atteignait la Roumanie pendant qu'elle planait dans l'obscurité fantastique des forêts et 2sentait2 comme leur esprit s'abandonnait au labyrinthe sombre de l'obscurité.
Dans le lointain, la pleine lune 2rayonnait dans la connaissance profonde de la 2couverture du ciel pendant que son éclat glacé passait.
Sur son voyage 2permanent de pèlerin 2 par la forêt 2des fées, elle observait un beau château 2s´élevant devant elle et 2touchant les étoiles sur les Carpates. Somnolent en raison du paysage idyllique, son sens est affaibli par un brouillard dense et le corps de la fille spectrale s'écroulait pendant qu'elle étalait ses vêtements devant l'attente des natures de nuit.
„Favole“ , appelait le silence. „Réveille-toi, 2orpheline de l'obscurité.“
Et derrière les gros murs de 2 pierre, elle ouvrait les yeux de nouveau  et fixait son regard sur l'image impressionnante d'un jeune vampire avec les cheveux dorés et les yeux pâles. Par sa peau bleuâtre miroitaient encore les veines vides de sang, et à ce moment, il approchait une coupe remplie 2de sang à ses lèvres qui donnait une chaleur dorée à son portrait, comme à un ange.
Le vampire restait devant les flammes des candélabres que la lumière 2inondait 2dans le grand espace, et 2sa tenue imposante et majestueuse brillait dans 2a lueur 2vacillante. Avec la nymphe vénitienne à son côté, le non mort commençait à raconter, comme son intuition lui disait que cette nuit un fantôme immortel 2viendrait voler  à son ???sous-glissement ???.
Le vampire 2au visage imposant comme un ange, affirmait connaître l'intention de son voyage ainsi que le chemin à Hesekiel, à ce grand non mort, qui, des siècles 2auparavant, avait transformé sa mère Marquise en vampire .
Ces halls étaient la partie d'un rêve, mais au réveil, Favole sentait le froid de la pierre, et peu après, elle comprenait que le salon sombre, dans lequel elle se trouvait, 2brillait dans le clair de lune et que ses lèvres tremblaient  à cause du froid dans l'intérieur glacé du château.
„Mon nom est Abel“ , le vampire continuait pendant qu'il s'installait à côté du fantôme infatigable. „J'étais né dans l'obscurité, dans le ??tirait ?? d'une princesse roumaine et de son ange en pierre aimé. Depuis beaucoup d'années le sombre présent de ma mère ne chante plus ses mélodies, depuis ce temps quand elle mourait pour toujours, tué par des villageois, avec un pieu délivrant.
Depuis sa mort, mon père garde ses restes pendant que ses ailes fragiles 2donneront à l'avenir de l'ombre à la tombe de sa princesse aimée à  .“
Après qu'il ait livré son identité, il montrait 2à Favole le Necross, une amulette qui 2appartenait à sa mère Marquise il y a plusieurs années . Le jeune vampire qui avait l'objet hérité 2lui manifestait le pouvoir. Cette amulette rendait vrai  le rêve de la princesse roumaine et montrait leur sa figure en pierre aimée, la vie était
insufflée. Et maintenant, cela indiquerait le chemin à sa nouvelle propriétaire .
„Cette amulette te montrera le chemin à la Rédemption qui était voilé jusqu'à présent par ta peine éternelle. 2Cette nuit-même ton vrai destin commence . Ouvre tes yeux devant une nouvelle vie!“
lentement les ombres nocturnes se dissolvaient dans l'infinité des forêts roumaines 2alors qu'étaient 2venues les dernières heures. Pendant cette hibernation, l'elfe fantomatique  se réveillait de son rêve entre les arbres a cause de la chaleur d'une luminosité proche. Devant elle apparaissait un champ merveilleux avec des défunts, et dans le lointain, le loup blanc 2les yeux brillants disparaissait dans le fourré, 2sur le chemin du château.
2Je suis 2seule de nouveau, chuchotait la fée avec les cheveux sombres violets pendant qu'elle regardait la vieille amulette qu'elle portait au cou.
Sur le monde 2se levait le jour, et l'aube éclairait les sombres forêts pendant que dans le ??câble ?? de matin la mélancolie des pierres tombales se montrait.
A ce moment, Favole se levait devant l'horizon 2 couleur de pourpre qui éclairait ses pas et remplissait le vent avec la nostalgie. Elle 2sentait, comme le soleil commençait à affaiblir son esprit sombre, et elle continuait son voyage à la Rédemption, sans direction déterminée, mais en accompagnement de l'amulette mystérieuse.
Loin du château fantastique, la princesse de conte suivait le chemin des brouillards et des odeurs 2agréables tendres 2de fleurs de 2couleur mauve.
„Et qui 2observait-elle, caché  entre les branches ?“,se demandait un ange abandonné.
Peut-être, un petit lutin qui regrette beaucoup son absence.

























Teil 3


Pierrot
Après la représentation mes fils  pendaient 2au plafond comme chaque soir. Pendant ce temps mon corps 2de bois sculpté se balançait dans l'obscurité de cette pièce froide.
Beaucoup d'années avaient passé, depuis ce temps quand son ??monsieur ??2maitre avait commencé à créer ses jambes, sculpter ses traits du visage et créer sa robe d'arlequin qu'il portait pendant les représentations du grand théâtre.
Depuis sa naissance, autant de temps avait passé qu'il commençait à sentir comme des vers du bois perçaient lentement son 2cœur, et comme la couleur émaillée de ses  2grosses larmes grosses se 2desquamaient graduellement, et tombaient au sol. Mais son 2maitre, le joueur de marionnettes, ne 2 manquait pas de peindre une nouvelle larme au matin ( ?????le plus près), de copier son sourire rouge et de réparer sa robe pour qu'il puisse ??flotter ??? 2à l'avenir à travers les théâtres d'enfant.
Chaque nuit, le vieil arlequin rayonnait 2aux feux de la rampe comme aucune deuxième marionnette. Son succès était si grand que les rires et les applaudissements des enfants le rendaient sourd dès que le rideau tombait. Mais cette courte joie devenait  morosité, quand son corps était accroché dans l'obscurité de la cave à la fin de chaque présentation  et était laissé 2seul. Seulement les rats entendaient ses lamentations.
La nuit pendant que les marionnettes jouaient une danse dans la représentation, les grands rideaux du théâtre commençaient à brûler  2à cause d'une bougie qui 2éclairait la scène. Le feu enveloppait toutes les marionnettes et les spectateurs s'enfuyaient 2en panique 2vers la sortie.
Tout disparaissait dans cet incendie pendant que les corps des marionnettes brûlaient 2en 2cendres. Sous la lune, le vent commençait à souffler doucement et emportait Casimir, très loin des restes de sa vieille prison. Sa cendre 2 s´envolait, ce dont il avait rêvé depuis ce temps  quand son 2cœur 2avait été 2sculpté par les mains qui avaient capturé sa vie et avaient peint son faux sourire.
De l'autre côté d'un théâtre carbonisé, la cendre des morts 2s´envolait 2vers la liberté, touchait les étoiles et 2tombait 2dans la mer.


2Prélude
Dans les marais, on entend 2 de nouveau la poésie des fantômes …
Le vent raconte que les dames 2aux visages pâles sourient encore dans l'éternité et rêvent de l'espoir de trouver une petite étincelle de lumière dans ses nuits infinies.
Venise s'enfonçait sous l'eau du souvenir pour toujours , et les fantômes, qui accompagnaient Favole dans les nuits de sa peine, prenaient congé d´elle, quand elle décidait 2de quitter la ville 2aquatique pour poursuivre un espoir. Donc, un petit fantôme 2qui 2s'appelait Sacha , ne la laissait jamais partir 2seule.
A la recherche du chemin 2de la paix éternelle, le fantôme traversait des pays qui étaient gouvernés par l'inquisition chrétienne et faisait la connaissance de la sorcière de 2la forêt Ebony.
En raison d'un pacte entre les puissances sombres , la sorcière lui montrait le chemin qu'elle devait suivre pour trouver la Rédemption 2de son âme. Très loin des chats noirs et des bûchers 2en feu, les paysages fantastiques de la Roumanie attendaient son arrivée.
Dans l'intérieur d'un château fantomatique,  Abel, un vampire avec un visage  comme un ange lui 2montrait une vieille relique : Une amulette qui 2appartenait  autrefois à une princesse roumaine.  Les rêves de la princesse finissaient, quand elle mourait par le pieu des villageois.
Après qu'il ait raconté la légende de ce testament à Favole, il lui remettait le Necross, un 2médaillon dont la lumière était la clé 2de la mort.
Depuis ce temps cette amulette mystérieuse mène Favole sur le chemin de l'espoir , et l'odeur de la mort devenait encore plus intensive.
A la fin de l'automne, Favole suivra encore un chemin 2de pleines violettes par un pays glacé et admettra que le lierre de sa tombe grimpe jusqu'aux ???? hauts  autour du couvrir 2le château désiré du pays ????? . La lumière glacée est ???poche ??? ..


L'épidémie sucrée 2est remplie de douleur .
La dernière lumière du crépuscule brillait sur les marais bas. Une lumière dorée qui voulait justement s'éteindre car on pouvait déjà reconnaître la lune  dans le lointain, et les bruits nocturnes commençaient à chanter ses mélodies dans le lieu désert.
Dans des vêtements d'affliction apparaissait Favole, le fantôme nomade, entre les derniers soupirs de l'automne. Les larmes, qui coulaient de ses yeux, se transformaient lentement en givre. 2On pouvait 2presque reconnaître l'arrivée proche de l'hiver dans la pipe glacée du vent .
Parfois on pouvait penser que le gémir du vent exprimait son nom, comme une symphonie des fées et ondines d'eau. Lentement la lumière du crépuscule commençait à mourir dans l'eau trouble du marécage, et aux bords d'un ruisseau, l‘environnement était inondés par 2de 2mauvaises odeurs   pendant que les filles à 2poils 2longs sortaient de l'eau pourrie .Les fées burlesques  2abandonnée se libéraient du marécage dans lequel le vide et l'odeur 2de mort 2étouffaient le chant des crapauds , et venaient à Favole.
L'un d'eux faisait un pas en avant et Favole appelait son nom : Anna. Ses cheveux dorés tombaient  paresseusement et salement sur ses épaules, et ses yeux bleus comme le saphir regardaient la dame avec réserve .„La reine remplie de douleur de ces marais m'a fait remarquer ton arrivée„, chuchotait la belle nymphe avec une voix timide. „Depuis beaucoup d'années sa forme blanche  2n´est plus 2apparue, , mais cette nuit, nous avons entendu sa voix.“
Elle t'appelait. Elle se réveillait pour que sa forme se libère des 2derniers siècles et sa peau 2redevenait jeune 2d'un blanc éclatant comme autrefois.
Tout à coup  Anna 2coupe ses artères avec un couteau propre pour faire couler 2son sang sur la terre humide.
2Puis, elle embrassait doucement les rats qui couraient par-ci 2par-là entre les feuilles 2froissées. Pendant qu'elle mordait dans 2ces petits corps, elle pouvait faire couler de nouveau un ruisseau des larmes rouges pour que Lavenne, la mère de tous, puisse 2s´épanouir comme une fleur.
Un éclat glacé éclairait les marais et une créature blanche apparaissait devant Favole pendant que les 2autre nymphes qui s'effrayaient beaucoup, couraient dans l'obscurité de la forêt.
Son corps brillait dans une couronne de 2 lumière qui était si 2ébloissante que les ailes transparentes qui donnaient le ??Deviendrait ??(le devenir) à la 2soi disante „Vierge remplie de 2douleurs“.
La reine , qui s'était trouvée dans une métamorphose continuelle depuis des siècles , était beaucoup plus rayonnante 2qu´avant après qu'elle se soit réveillée de la léthargie de sa poupée blanche. 2Remuée par la présence de l'elfe Favole demandait :
„Je voudrais trouver le chemin, le vrai sens de mon existence et la Rédemption de mon âme.“
„Favole, La clé est la mort. Il n'y a aucune Rédemption que le vrai ange de l'obscurité t'accorde“, répondait la fée blanche avec une voix impressionnante.
„Mais mon corps s'éteignait devant beaucoup d'éternités et son 2baiser éveillait 2encore une fpois mon âme   pour qu'elle puisse errer dans la solitude. Je suis 2morte, mon 2cœur n'a plus battu depuis ce temps-là.
„La mort ne t'a jamais embrassé. Moi, je n'ai 2 aussi jamais fait  sa connaissance,“ Lavenne continuait. Ton 2cœur s'arrêtait 2de battre sous l'eau de la mer, mais sa tempête ne t'a pas fait plonger dans la vraie mort. Écoute le silence. Dans mon empire la vie n'existe pas , mais quelque chose nous lie avec lui. Les petits crapauds mouraient dans mes mains et après que je les 2aie 2enterrés dans la vase, j'entendais 2de nouveau  dans le lointain  2leurs  2croassements. Le chœur des voix mortes continuent avec ses mélodies, c'est la musique de mon empire, la dernière respiration de la vie terrestre. Les peines gèlent notre existence, 2entre la vie et la mort. Certaines âmes cherchent la lumière pour s'en libérer, mais les plus grandes âmes qui ne trouvent pas de calme viennent à la place calme, comme l'eau de mon empire.
La mort est la fin, le silence éternel. Rien. Cherche la mort et nettoie tes peines. Necross qui 2pend à ton cou brillera si tu sens comme il s'approche.“
La fée disparaissait lentement et laissait le fantôme errant dans le marais, 2couvert 2de givre. Le silence était immense.
Favole continuait son chemin et 2quittait la mauvaise odeur du marécage sombre . Dans les profondeurs du marais existait encore l'épidémie sucrée et des 2centaines de Vierges 2sanglotantes mouraient, comme chaque nuit, et laissaient 2leurs corps, comme Ophelia, dans l'eau pourrie du marécage.
Dans l'empire de la Vierge remplie de douleur, le froid augmentait... Et les chants harmonieux annonçaient la mort de l'automne.


Violettes dans la glace

La mort est un ange, chantait Persephone, la fille maladive qui rêvait d'être une femme, de danser dans les salles avec des 2centaines d'hommes et de vivre dans un conte 2plein 2de sorcières et 2de fantômes.
Avec le regard sans force, comme celui d'une poupée triste, elle 2regardait continuellement par la fenêtre de sa cabane où la neige tombait doucement au sol et couvrait le chemin de la forêt.
Persephone connaissait la maladie depuis sa naissance, et bien que le froid de la neige était 2mortelle pour elle, elle décidait 2de 2sortir 2ce matin et de faire une petite promenade par la forêt pour sentir le froid que sa belle-mère lui interdisait continuellement. D‘abord elle couvrait 2son visage blanc comme la neige avec un peu de poussière, dessinait un 2cœur rouge sur ses lèvres  et peignait ses boucles qui étaient 2noires 2comme de l'ébène.
Comme une belle princesse, elle quittait la cabane et entrait dans la forêt glacée pendant qu'elle mordait dans une pomme qui était 2aussi rouge que le sang. Il 2faisait très froid. Si froid qu'elle pensait que ses jambes ne faisaient plus 2ce qu'elle exigeait, et sa poitrine devenait sombre violet à cause des douleurs. 2Épuisée, elle décidait de se coucher dans la neige et commençait à trembler.
„Tes lèvres sont rouges comme le sang. noir tes ailes  de mort, si tu viens 2me 2chercher„, chantait la fille. Et le sang commençait à couler sous sa jupe et 2à tacher la neige 2propre. Sa première menstruation était venue et avec ça la fin de l'enfance.
Tout à coup un essaim de papillons bleus comme la violette volait devant son visage et a cause de l'effroi elle avalait de travers  une bouchée de 2 pomme. Le froid de la neige et de la pomme rouge coulaient dans la fille comme un poison mortel, au point culminant de sa puberté. Elle 2s´étouffait.
En chemin entre la vie et la mort, elle ouvrait les yeux pour un moment et voyait le monde des fantômes. Elle s'était étonnée et observait 2 une fille fantomatique avec les cheveux sombres violets 2 qui embrassait son corps inanimé et léchait le sang de 2sa jupe.
„Es-tu la mort?“, demandait 2 la fille.
„Non, ton sang est ma nourriture, ici est le monde des fantômes. La mort est un ange, tu te souviens?“, répondait Favole.
„…Angélique…“, les bourrasques 2chuchotaient avec les ailes noires qui souriaient doucement à la fille pendant qu'elle laissait beaucoup de violettes effeuillées 2sur son chemin. Persephone souriait à l'ange de ses chansons pendant que son âme disparaissait dans la félicité parfaite. Elle ne 2tomberait plus  malade.
Mais Favole continuait son chemin dans le monde des fantômes pendant qu'elle 2goûtait du sang d'un corps récemment défunt, et regardait 2de nouveau la belle dame avec les ailes noires  . Ses cheveux étaient longs et sombres, et ses robes étaient étalées sur la neige et des 2centaines de papillons bleus comme la violette flottaient autour d'eux.
Comme dans un rêve, la belle dame se penchait 2sur  Favole et caressait son visage. Elle souriait de nouveau et disparaissait, et avec elle l'âme de la fille.
On pouvait reconnaître un chemin infini des violettes dans la neige, et Favole qui était 2menée par un grand pouvoir, se levait et  suivait ce chemin. Un château impressionnant se montrait au loin sur le pays des fantômes , et le Necross commençait à éclairer 2 sa poitrine.
Le chemin était court, doux et plein d´espoir. La lumière glacée éclairait 2 Favole jusqu'à sa Rédemption. Quand le chemin de violette était terminé, Favole regardait 2 pour un moment
en arrière. À la place 2où 2Blancheneige trouvait  2 la paix, les corbeaux et les papillons volaient ensemble et gardaient son cercueil de verre.
„Oh ma mort, je t‘aime.“, chuchotait Favole et les portes du château s'ouvraient devant elle.


La fin de l'obscurité
La lumière des candélabres éclairait une salle gigantesque dans l'intérieur de la forteresse brumeuse. Le bal masqué qui avait lieu là 2attirait Favole  avec enthousiasme  2alors qu´elle commençait à se souvenir de chaque bruit, de chaque accord des pianos, et de chaque  2 mélodies 2particulieres 2lesquelles les musiciens de la cour spectrale entonnaient sur ses violons .
La musique était assourdissante et retentissait dans 2tous les coins du château. Les masques flottaient par-ci 2par-là et cachaient les visages des assistants. Des 2centaines de 2couples dansaient 2en planant une valse de mort.
La scène commençait à enthousiasmer Favole et elle sentait, comme la musique inondait son esprit. La symphonie tonnante du requiem affaiblissait 2ses sens et bientôt, elle entendait les rires 2résonnants des hôtes qui s'amusaient de son affaiblissement.
2Leurs bouches éclairaient rouge de rubis pendant qu'ils montraient 2leurs canines avec les grimaces diaboliques, et 2leurs corps de cire tournaient autour de Favole qui était 2devenue 2inconsciente en raison de cette magie musicale.
Lentement les mélodies se taisaient , les rires disparaissaient. Et il y avait un long silence, pendant que les flammes des bougies perdaient la force et plongeaient la salle dans une obscurité fantastique.
Favole se réveillait de son rêve, 2raide comme une statue, gelée à la surface d'un vieux miroir qui se montrait entre les 2toiles d'araignées d'une chambre à coucher froide.
L'odeur de l'encens inondait l'espace, et le son d'un violon commençait à retentir de nouveau.
Hesekiel, vampire et souverain sur le pays des fantômes, se trouvait devant la fenêtre de la chambre à coucher et jouait de son violon doré.
Mais une lumière curieuse interrompait sa mélodie triste. A la recherche du signe mystérieux qui venait du miroir, son regard  demeurait à sa surface. Lentement  2quelques larmes coulaient  de ses yeux sur sa joue, quand il reconnaissait l'image dans le miroir.
Le Necross brillait comme jamais 2auparavant  au cou de la fille qui avait gelé dans le verre. Il brillait comme le chemin que les âmes aperçoivent avant qu'ils 2trouvent la mort.
La lumière de la paix et du silence absolu.
„Favole„, chuchotait le vampire devant l'image 2prisonnière du miroir. Et alors, il comprenait le sens de cette lumière. Comme une marionnette, il 2écoutait 2message de l'amulette magique et allait aux portes qui 2cachaient la chambre à coucher. Avec un coup, il les ouvrait.
Il perçait un pieu qui se trouvait dans la pièce, dans le 2cœur inanimé et déchaînait le démon qui avait maîtrisé 2longtemps sa nature non morte dans l'empire des vampires.
Cela durait seulement un moment fugitif. La mort venait et avec lui la lumière de Necross disparaissait et les miroirs se brisaient 2en mille 2morceaux. Depuis ce temps-là deux âmes ne sont plus tourmentées par la peine. 2Elles étaient 2régénérées en commun dans le monde secret des miroirs . La peine 2touchait à 2sa fin.
Avant qu'ils s'avancent vers la lumière, les  deux âmes remarquaient qu'un petit ange sanglotait timide entre les pierres tombales du cimetière.
„Comment 2t'appelles-tu? Pourquoi est-ce que tu pleures et te caches entre les morts?“, demandait 2 Hesekiel à l'enfant 2orphelin.
„J'appelle Sacha, et j'ai passé ma vie 2à donner l'amour. Mais je ne l´ai jamais trouvé. Je me suis perdu et suis seul. Est-ce que je peux aller avec vous ?“, demandait l'ange avec le drap de lin sale et les ailes blanches pendant qu'il dévoilait son visage et prenait la main de Favole.
Et les trois âmes saisissaient 2leurs mains et longeaient un chemin, ou les anges ne cessent pas de pleurer face à  l‘adieu.
Et ils sentaient cette lumière.
2Froide comme la glace.
Les anges en pierre regardaient 2calmes .A ce moment, un nombre infini des perles d'eau 2commençaient à humecter leurs corps. 2C´était les rivières de larmes qui venaient du ciel.


Viele Grüße

Profdefrance

Bezug
        
Bezug
Längere franz. Geschichte: Mitteilung
Status: (Mitteilung) Reaktion unnötig Status 
Datum: 10:42 So 24.02.2008
Autor: Profdefrance

Hallo cerise_noire,

Ich warte auf ein Zeichen von dir.

Viele Grüße

Profdefrance

Bezug
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